Dans une interview avec le magazine italien Grazia [édition de juillet 2016], Kristen évoque Equals de Drake Doremus, Café Society de Woody Allen, Jesse Eisenberg, son premier court métrage Come Swim, sa vie privée et Hollywood.
Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs
C'est
tellement bizarre de rencontrer Kristen Stewart à New York. Nous
vivons tous les deux à Los Angeles et aujourd'hui nous sommes au
Crosby Hotel, près du World Trade Center. La raison est qu'elle est
tellement occupée avec la tournée promotionnelle de ses nouvelles
films : le long métrage de science fiction Equals
et la comédie sophistiquée de Woody Allen Café
Society.
La jeune femme âgée de 26 ans est l'une des actrices les mieux
payées du monde, après beaucoup d'heures passées sur les plateaux
de tournage, elle commence sa nouvelle aventure en tant que
réalisatrice et son innovation désirée.
L'une
d'entre elles se trouve sur son avant bras et cela dit, 'Une
fois de plus avec les sentiments',
la citation habituelle que chaque réalisateur a l'habitude de dire à
ses acteurs et nous pouvons le traduire en, 'Tournons
la même scène à nouveau, mais maintenant avec plus de sentiments'.
En
fait, Kristen dit que c'est un mode de vie [qui dit que], 'si
cela n'est pas juste la première fois, vous pouvez toujours essayer
à nouveau et mettre votre cœur à l'ouvrage'.
Et même si lors de notre rencontre, je ne peux pas lui demander quoi
que ce soit à propos de vie privée et la relation qu'elle a avec
Alicia Cargile, après la chanteuse française Soko, aujourd'hui
Kristen veut parler des sentiments.
Surtout
parce qu'ils sont au centre de ses deux nouveaux films : dans
Equals,
elle joue Nia, une fille, qui vit dans une société futuriste dans
laquelle toute émotion est bannie, elle tombe amoureuse de Silas, le
mec joué par Nicholas Hoult.
Dans
Café Society,
elle est Vonnie, une secrétaire portant du Chanel et Jesse Eisenberg
tombe amoureux d'elle.
Journaliste : Dans vos films récents, vous avez dû traiter avec un type d'amour différent : celui platonique, l'amour d'une adolescente, l'amour passionné, l'amour entre deux amis et le seul moyen qu'est l'amour. Quel est le plus addictif ?
Journaliste : Dans vos films récents, vous avez dû traiter avec un type d'amour différent : celui platonique, l'amour d'une adolescente, l'amour passionné, l'amour entre deux amis et le seul moyen qu'est l'amour. Quel est le plus addictif ?
Kristen
Stewart :
Il n'y en a pas un qui soit mieux que les autres. Vous ne pouvez pas
définir l'amour et vous ne pouvez pas vivre sans. J'agis de
différentes manières avec tout le monde : j'ai une relation
différente avec mon ami, avec ma famille et même maintenant j'agis
différemment parce que vous m'interviewez. Il y a beaucoup de façons
de nous aimer nous-même et d'aimer les autres.
Journaliste :
Dans le film Equals,
vous jouez une jeune fille qui vit dans une société dans laquelle
les gens qui peuvent aimer risquent leur vie.
Kristen Stewart : Ouais, en fait, ce n'est pas mon genre de monde.
Journaliste : Au lieu de cela, dans Café Society par Woody Allen, votre personnage Vonnie doit choisir entre un homme adulte mais qui a réussi, joué par Steve Carell et un jeune homme sans argent joué par Jesse Eisenberg. Qui choisiriez-vous ?
Kristen Stewart : Ouais, en fait, ce n'est pas mon genre de monde.
Journaliste : Au lieu de cela, dans Café Society par Woody Allen, votre personnage Vonnie doit choisir entre un homme adulte mais qui a réussi, joué par Steve Carell et un jeune homme sans argent joué par Jesse Eisenberg. Qui choisiriez-vous ?
Kristen Stewart : Le
film se déroule dans les années 30. A cette époque, la priorité
pour une femme était de trouver quelqu'un qui pourrait prendre soin
d'elle. L'indépendance de la femme n'était même pas un sujet de
conversation. Ce que vous verrez dans les cinémas est une fille qui
s'amuse tellement avec l'homme riche joué par Carell, mais elle
découvre aussi une vie tranquille, plus intime avec un type sans
argent.
Journaliste :
Vous ne m'avez pas dit qui vous choisiriez.
Kristen Stewart :
Je ne me sens pas à l'aise avec le fait de choisir à la place des
personnages que je joue. Personnellement, j'adore passer du temps
avec Jesse Eisenberg, donc éventuellement je finirai avec lui.
Journaliste :
Avez-vous souffert par amour ?
Kristen
Stewart :
Souffert ? J'ai été dévastée.
Journaliste :
Et comment avez-vous guéri ?
Kristen Stewart : En avançant dans ma vie, en faisant mes propres choix sans regarder en arrière.
Journaliste : Au début, vous souffrez, mais ensuite on se rend compte que chaque minute passée à souffrir vous rendra plus fort et conscient.
Kristen Stewart : En avançant dans ma vie, en faisant mes propres choix sans regarder en arrière.
Journaliste : Au début, vous souffrez, mais ensuite on se rend compte que chaque minute passée à souffrir vous rendra plus fort et conscient.
Kristen
Stewart : Je ne
changerai rien en ce qui concerne la douleur ; je préfère
souffrir plutôt qu'être insensible. Et nous devons nous rappeler
que nous sommes la cause de notre bonheur et nous sommes fait pour
tomber amoureux. Merde je devrais écrire l'un de ses bouquins de
développement personnel pour les gens qui ont le cœur brisé.
Journaliste :
La semaine dernière, vous êtes apparue dans une émission télévisée
et joué au Twister avec le présentateur Jimmy Fallon. Vous avez
montré votre côté compétitif. Avez-vous toujours été comme
cela ?
Kristen Stewart :
J'étais la seule fille dans ma famille ; ma vie a toujours
ressemblé à, 'Je peux
le faire aussi, je peux le faire aussi'.
Je ne veux pas réellement émerger dans toutes les situations, mais
si je joue, je veux gagner et je ne suis pas intimidée de le dire.
Mais le plus souvent les gens vous apprécient plus simplement si
vous perdez.
Journaliste :
Vous êtes une célébrité dans le monde entier, une icône de mode
et l'une des actrices les mieux payées. Que feriez-vous si vous
pouviez profiter de l'anonymat ?
Kristen
Stewart : Je me
promènerai seule ou j'irai simplement dans un centre commercial ou
un lieu plein de gens. Non pas parce que j'aime les centres
commerciaux, mais parce que je pourrais enfin avoir la chance de voir
les visages des gens sans être reconnue. Parfois, je pense que je
suis devenue une actrice simplement à cause de ma curiosité en ce
qui concerne la vie des gens.
Journaliste :
Vous avez commencé très jeune. Vous aviez 9 ans lorsque vous avez
joué la fille de Jodie Foster dans le film Panic
Room.
Qu'est-ce qui vous a rendu curieuse à l'époque ?
Kristen
Stewart : Au
début, je pensais simplement à avoir un boulot, aller sur les
plateaux de tournage et avoir quelques répliques à jouer. Après,
j'ai découvert à à quel point j'étais passionnée par le cinéma
et à quel point il y a de l'art dans la réalisation de chaque
scène.
Journaliste :
Nous nous sommes rencontrés en 2007 pour le film Into
The Wild,
mais vous étiez encore une jeune fille timide et privée.
Aujourd'hui, vous êtes une femme déterminée et confiante. Que
devons-nous attendre de votre part ?
Kristen
Stewart : Un
film, mon film. L'année dernière, j'ai travaillé sur cinq
tournages différents et maintenant j'ai la chance de réaliser dans
trois semaines un court métrage que j'ai écrit. Je suis tellement
heureuse, je voulais créer quelque chose m'appartenant depuis que je
suis un enfant et maintenant j'ai la chance de le faire.
Journaliste :
Sur quoi le film porte t-il ?
Kristen Stewart : Le
titre est Come Swim,
mais j'en parlerai lorsqu'il sera fini. L'acteur principal est l'un
de mes amis qui s'appelle Josh. Il n'est pas acteur mais il est
phénoménal. Vous allez voir.
Journaliste :
Avez-vous demandé des conseils à votre amie et mentor, Jodie
Foster ?
Kristen
Stewart : Lorsque
je lui ai parlé du film, la première chose qu'elle a dit était,
'La première chose que
tu dois apprendre, c'est que tu n'as rien à apprendre. Tu es prête'.
Elle m'a donné un peu de courage.
Journaliste :
Qu'est-ce qui vous effraie ?
Kristen
Stewart : Lorsque
j'étais enfant, je souffrais d'anxiété & je ne savais pas d'où
cela venait. En grandissant, j'ai appris que c'est assez normal
d'avoir des moments d'insécurité.
Journaliste :
Grâce à la Saga
Twilight, dans
laquelle vous étiez amoureuse du vampire joué par votre ex petit
ami Robert Pattinson. Vous étiez une icône adolescente. Est-ce que
vous en apprécié encore les bénéfices ?
Kristen
Stewart : Eh bien
ouais, personne n'aurait financé mon court métrage si je n'avais
pas joué Bella.
Journaliste :
Le film de Woody Allen se déroule à Los Angeles, la ville où vous
habitez. Vous sentez-vous chez à Hollywood ?
Kristen Stewart :
Je vis dans la partie Est de la ville, celle qui est alternative et
moins touristiques comme Brooklyn pour New York. Dans le film, le
directeur de la photographie Vittorio Storaro montre un Hollywood
avec une lumière dorée et c'est en fait là que je vis en
Californie, [une zone] solaire et positive.
Journaliste : Le point culminant du movie sont les robes Chanel que vous devez porter. Avez-vous pu en garder l'une d'entre elles ?
Journaliste : Le point culminant du movie sont les robes Chanel que vous devez porter. Avez-vous pu en garder l'une d'entre elles ?
Kristen Stewart :
Pas cette fois-ci. Habituellement, j'en obtiens une sur chaque
tournage parce que, à la fin de chaque film, j'ai le sentiment que
personne ne devrait porter les robes des personnages que j'ai joué.
Cette fois-ci, c'était différent, c'était de l'art pur et elles
coûtaient vraiment très chères.
Journaliste : Si je pouvais ouvrir votre placard, qu'est-ce que je trouverai dedans ? Les robes que vous devez porter sur les tapis rouges ?
Journaliste : Si je pouvais ouvrir votre placard, qu'est-ce que je trouverai dedans ? Les robes que vous devez porter sur les tapis rouges ?
Kristen Stewart :
Une ou deux oui. Surtout celles du gala du MET. Mais la plupart
d'entre elles sont des emprunts. Dans ma garde robe, vous pourrez
retrouver énormément de tee shirts et de baskets.
Journaliste :
C'est tout ?
Kristen Stewart :
Ouais, mais ils sont tous très unique.
Scans/Traduction: KStewItaly
Via: TeamKristenSite
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