dimanche 26 janvier 2020

Underwater : Interview de Kristen avec Franck Ragaine

A l'occasion de la press junket américaine d'Underwater, Kristen parle du film, de son personnage, du tournage ou encore de son travail avec Vincent Cassel dans une interview avec Franck Ragaine.




Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs

Journaliste : Pouvez-vous nous parler un peu plus de la logistique physique de ce film ? Car vous parlez sous un casque, vous courrez dans l'eau, vous êtes en sous-vêtements ... C'est assez différent de ce qu'on peut voir. Comment était le tournage du film ?
Kristen Stewart : Oui, dès le début du film, on place nos personnages dans une situation vraiment cauchemardesque. Votre lieu de travail, qui se trouve au fond de l'océan, explose au moment où vous vous brossez les dents ... Le film était vraiment claustrophobe, étouffant comme le voulait le scénario. Je dirais que ce film suggère ce que l'on ressent quand on fixe l'obscurité, ne sachant pas ce qu'il va vous arriver ou même sans savoir ce qu'il existe dans votre réalité.

Journaliste : Vous avez trois films qui sortent les uns derrières les autres, du moins en France, avec Charlie's AngelsUnderwater et Seberg. Lequel était pour vous le plus éprouvant et lequel était le plus personnel ?
Kristen Stewart : Ils sont tous personnels d'une certaine manière, je ne peux pas me projeter dans quelque chose qui est complètement différent de moi-même. Quand je joue dans des films, j'ai l'impression de d'essayer de me rapprocher un peu plus de qui je suis. Je dois dire que je n'ai pas du m'éloigner vraiment de ma personne pour tourner ces films, je voulais désespérement rester proche de moi.

Journaliste : Vous êtes l'une des rares artistes qui possède une forte palette personnelle dans le jeu et dans la mode. Comment faites-vous pour les faire se compléter et interagir l'un avec l'autre, d'un point de vue artistique ?
Kristen Stewart : Eh bien, beaucoup d'histoires historiques élaborées et fortement développées ont en quelque sorte été racontées à travers la mode et en tant qu'actrice, je suis toujours une sorte de porte voix pour l'expression initiale de quelqu'un d'autre. Et j'ai le sentiment d'avoir la même relation avec le réalisateur que celle que j'ai avec un créateur lorsqu'il s'agit d'essayer de réaliser en quelque sorte ces expressions physiquement. Donc oui, je ne fais pas pas une énorme distinction entre les deux. Elles sont juste deux formes artistiques complètement différentes mais l'impulsion commence toujours du même endroit.

Journaliste : Pouvez-vous me parler de votre travail avec Vincent Cassel ? Est-ce que vous parliez un peu en français ou c'était plutôt en anglais? Avez-vous eu des conversations avec lui ?
Kristen Stewart : Oui nous avons carrément parlé ensemble. [Rires] Principalement en anglais pour être honnête. Il est en quelque sorte l'épitôme de … Je ne le connais pas très bien mais sur ce film, il était notre capitaine et donc il était en quelque sorte un mâle alpha qui disait, 'Allez les gars ! Pourquoi les combinaisons vont embêtent-elles ? C'est rien du tout ! Allez on y va !'. Et on disait, 'Non, ces combinaisons sont en train de nous tuer !'. [Rires] Alors pour moi, il était juste ce gars qui fonce vraiment dans le tas, viril … Il était en quelque sorte un acteur engagé.

Journaliste : Dernière question. Un vœu pour 2020 ? Il peut être pour le monde, pour vous ou pour un ami. Quelque chose que vous pouvez partager.
Kristen Stewart : Oh je ne sais pas. Mon dieu, c'est pas évident ! Aidez-moi, s'il vous plaît ! [Rires] Honnêtement, il y a tellement de points d'interrogation ! Je n'ai même aucune idée de la façon de définir un vœu, vous savez.

Journaliste : D'accord. Donc c'est une grande interrogation, n'est-ce pas ?
Kristen Stewart : Ouais !

Journaliste : Ok merci beaucoup !

Kristen Stewart : Merci !


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