American Ultra : Max Landis parle du film & mentionne Kristen avec Collider

Max Landis, le scénariste d'American Ultra parle du film et mentionne Kristen lors d'une interview pour Collider.

Traduction faite par le staff de Kstew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs.

A partir de [25min50] :

Journaliste : Changeons de sujet pour parler de quelque chose à propos duquel je suis vraiment excité, American Ultra.

Max Landis : Putain ouais ! Désolé. J'ai le même 'Putain ouais!' pour Me and Her. J'ai réalisé un film donc j'ai le droit de dire, 'Je pense que c'est super bien'. Et bien je pense qu'American Ultra est super bien et je pense que vous allez beaucoup l'aimer.

Avez-vous une partie du film déjà ?

Oui, j'en ai déjà vu plusieurs parties.

Vous êtes quelqu'un a été beaucoup impliqué pour donner vie au projet. 

J'ai été très impliqué dans ce film. Vous savez à la fin vous perdez un peu de contrôle en post-production, car je suis le scénariste, mais le réalisateur et le producteur me respectent beaucoup. 

Quelle a été votre réaction à la version la plus récente, celle que les gens vont voir ? 
Il y a eu plusieurs versions. Parfois ma réaction est 'Putain ouais !' et d'autres fois 'Putain ouais !'.

Donc quelque soit la version, vous êtes heureux du résultat.
Eh bien quand vous voyez la toute toute première version du film, ce n'est pas bon ! [Rires] Ca ne l'est pratiquement jamais, mec. Mais oui, je suis content. Je suis aussi heureux qu'un scénariste peut l'être avec un film de cette échelle. 

Pour les personnes qui ne savent pas, de quoi parle ce film ?
American Ultra c'est l'histoire d'un type nommé Mike Howell, qui vit dans une petite ville. Il est en probation pour possession de drogue. Sa petite-amie est son amoureuse, sa mère, sa pote, son avocate. Elle prend simplement soin de lui. Vous avez déjà vu des couples comme ça, où l'un des deux est la mère de l'autre. Il veut la demander en mariage, mais il a peur. Car ce n'est pas un mec stupide, et il se sent comme, 'Si je fais la demande à cette fille, et qu'elle dit oui, ça va ruiner sa vie. Et si au contraire elle dit non, ça va ruiner ma vie'. Donc il ne sait pas quoi faire. Il a cette anxiété bizarre de quitter la ville, il a l'impression de la retenir. 

Pendant ce temps-là, au Pentagone, un truc très mauvais se trame. Une femme prénommée Victoria Lasseter, quelque chose lui a été enlevé par un bureaucrate du nom de Adrian Yates. Ce dernier applique un protocole, auquel Victoria n'est pas certaine de vouloir l'appliquer. Et ce qui en suit est une violence extrême, le chaos, la panique et la destruction. C'est cool ! Je veux dire, c'est un putain de film super cool, mec ! [Rires]. Je ne sais pas que c'était. Je ne sais pas ce qui vient de se passer. J'ai eu une attaque. 

Kristen a beaucoup de fans.

Putain oui elle en a beaucoup ! Et elle en aura encore plus après ça. Elle ... Ouais !

C'est une actrice talentueuse qui est souvent négligé par certaines personnes à cause des films Twilight.

Elle a été mal placée dans ce casting ! Oups, désolé.

Sans commentaire.

Non, c'est une actrice super cool, élancée et profonde. Et dans Twilight, elle n'a en quelque sorte pas pu faire tout ce qu'elle peut faire. Et dans American Ultra, elle a pu faire plus de choses.

De quelle manière étiez-vous impliquez dans la recherche du casting ? Lionsgate sont-ils venus vers vous avec le casting ?

Mandy n'était pas impliquée au départ, nous allions déjà faire le film. Ils sont arrivés après. Et Lionsgate est arrivé en disant 'Hmm ça a l'air cool'. Merci au fait Lionsgate, car maintenant nous avons une super distribution. Mais non nous avons beaucoup parlé de qui on voulait, puis nous leur avons couru après, un par un. 'Nous voulons Jesse Eisenberg !' et il a dit oui et on s'est dit, 'Quoi !?, 'Nous voulons Kristen Stewart' et elle a dit, 'Oh, je suis occupée à ce moment-là'. donc nous étions 'Oh ...' et on a parlé puis elle dit 'Ok j'en suis ! ', et on était 'Quoi ?!' . C'était super cool. 

C'est grâce à elle ou à Jesse Eisenberg ou les deux, que vous avez pu vendre les droits du film à l'international ?
C'était les deux. Et c'est intéressant aussi que Connie Britton a aidé aussi. 

Source: Collider Via: TeamKristeSite