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mercredi 27 octobre 2021

Spencer : Nouveaux stills & cliché BTS de Kristen & du réalisateur Pablo Larraín sur le tournage

Le magazine américain Entertainment Weekly a dévoilé des nouveaux stills et un nouveau cliché BTS de Kristen et du réalisateur Pablo Larraín sur le tournage de Spencer.


* Stills






* Cliché BTS




Source: EntertainmentWeekly

Spencer : Interview de Jacqueline Durran avec Entertainment Weekly

A l'occasion de la promotion de Spencer réalisé par Pablo Larraín, la créatrice des costumes Jacqueline Durrant mentionne Kristen et parle du film, de sa collaboration Kristen et le réalisateur, du rôle de la princesse Diana, de sa garde robe et ses recherches pour la recréer et les tenues marquantes dans une interview avec Entertainment Weekly.



Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs

Jacqueline Durran, la créatrice des costumes de Spencer explique comment elle a transformé Kristen Stewart en princesse Diana


Beaucoup de travail acharné – et Chanel – a été consacré à la garde robe de Di pour le film.


Vous ne connaissez peut être pas le nom de la créatrice de costumes Jacqueline Durran, mais si vous avez vu un film au cours des 20 dernières années, vous connaissez probablement son travail. L'iconique robe verte dans Atonement ? C'était elle. Les trench coats de la Première Guerre Mondiale en 1917 et l'homme qui est venu des gris froids dans Tinker Tailor Soldier Spy ? C'était elle aussi. Pride And Prejudice également.


Mais la double lauréate d'un Oscar – pour Anna Karenina en 2012 et Little Women en 2019 – a été confrontée à un tout nouveau défi avec Spencer, le biopic d'art et essai fiévreux de Pablo Larraín : comment représenter une icône de la vie réelle sans perdre le sens du mystère surréaliste du film – ou l'essence de l'actrice américaine qui la représente. Entertainment Weekly a discuté avec Durran de l'approvisionnement en vintage de la part de Chanel, de la réalisation des rêves de marin pirate les plus fous de Stewart et d'autres looks pour Di pour le film.


Journaliste : Le style de Diana est si distinctif et si documenté. Quel genre de directives Pablo vous a t-il donné depuis le début ?
Jacqueline Durran : Eh bien, il y avait l'idée générale du film, dans lequel nous enquêtons sur l'idée d'une princesse qui semble avoir la vie parfaite mais qui en fait ne l'a pas. Et puis, il y avait la façon dont il voulait créer cette histoire dans un espace très conçu – il voulait que nos choix de costumes soient tous très intentionnels et il voulait aussi utiliser des couleurs fortes. Il y a donc une quantité infinie de recherches.

C'est un fait que tout le monde mentionne, mais [Diana] était réellement la personne la plus photographiée que j'aie jamais rencontrée. Je veux dire, si vous allez sur n'importe quel moteur de recherches, il y a des milliers d'images. Il s'agissait donc, en réalité, de choisir la direction parmi cette vaste gamme d'options. Et nous l'avons également réduit en ayant un calendrier, qui s'étendait quelque part entre 1988 et 1992.


Journaliste : Il y a certaines tenues que j'ai reconnu, et puis d'autres où je ne savais pas si c'était des répliques de looks qui avaient existé ou s'il s'agissait plutôt des interprétations.
Jacqueline Durran : Il y a un costume qui est autant une réplique que nous avons pu le faire, qui est le polo avec un col rouge et la jupe imprimée qu'elle porte en deuxième costume dans le film. Il y a aussi le bomber, le blouson qu'elle porte à la fin. Je ne pouvais pas croire que j'en avais trouvé un identique à celui qu'elle portait, [par une marque appelée] Mondi. Je veux dire, c'est le même ! C'était donc assez incroyable.

L'idée était que nous ne reproduisions jamais de manière servile tous les looks de Diana, mais nous étions définitivement en train de glisser sur leur idée. Nous n'essayions donc pas consciemment de faire la version la plus proche dans chaque cas. Mais à certains endroits, nous avons utilisé des choses qui étaient exactement son style, puis à d'autres endroits, nous avons dérivé. Nous avons acheté un jean rétro et les pulls n'ont pas été fabriqués par nous, évidemment. Mais beaucoup de pièces ont été confectionnées.


Journaliste : Existe t-il une pénurie de Diana maintenant lorsque vous faites du shopping pour du vintage, à cause des séries télévisées comme The Crown et leur influence et du regain d'intérêt général pour ces styles ?
Jacqueline Durran : C'est un peu plus difficile parce que c'est plus à la mode et plus de gens sont intéressés pour en acheter. Mais encore une fois, si les gens sont intéressés pour en acheter, alors les revendeurs en ont plus et vous n'avez qu'à payer plus cher pour cela. [Rires]

Mais la plupart [des pièces] de la garde robe de Diana ont été faites pour elle, nous devions donc aborder la question de Chanel. Sa principale période Chanel était plus tardive dans sa vie, mais il y avait sa visite à Paris, je pense que c'était en 1988, un [célèbre] manteau rouge, que nous avons ensuite reproduit pour Kristen par Chanel.


Journaliste : Il y a tellement de looks dans ce film. Plus que l'on le pense pour un film qui se déroule essentiellement sur trois jours seulement. Comment s'est passé le processus ?
Jacqueline Durran : Assez tôt, nous avons eu un énorme essayage. C'était avec Kristen, Pablo et moi-même et nous avons simplement parcouru tout le film et le genre d'idées allouées et regardé chaque costume. Je savais que par exemple, il y a le montage de vêtements dont elle a besoin pour Noël qui est présenté, pas tout ce qu'elle finit par porter.

Et puis, il y a les scènes de montage où ils la coupent à différents moments, ce qui ne fait pas non plus partie du genre de ses apparitions officielles. C'était donc des vêtements que j'ai continué à chercher tout au long du tournage.


Journaliste : La chose intéressante pour moi était juste le mélange de la fin des années 80 au début des années 90 avec le genre de restrictions de la famille royale – qui est si intemporelle d'une part, mais aussi un peu coincée peut être comme, dans les années 50, 60 et beaucoup moins organique pour elle.
Jacqueline Durran : C'est exactement ce que nous espérions qu'il se produirait parce qu'en théorie, tous ces vêtements que vous voyez lorsqu'elle a ses apparitions officielles sont tous des trucs qui ont été préparés pour elle, cela fait juste partie de la formalité de la situation. C'est donc bien que vous en soyez arrivé là en regardant [le film].


Journaliste : Et comment avez-vous fait pour que Kristen paraisse si grande ? Parce que Diana avait au moins 10 à 15 centimètres de plus qu'elle.
Jacqueline Durran : Cela a beaucoup à voir avec la façon dont elle a été filmée, je pense. Mais nous étions simplement conscients lors de l'essayage – si on peaufinait quelque chose, remontait la taille, bougeait un buste, changeait légèrement la proportion des vêtements, si cela l'allongeait, alors nous le faisions. Nous n'avons pas fait d'énormes changements à quoi que ce soit en particulier pour y parvenir. Mais nous avons évité les choses qui mettaient en évidence le fait qu'elle était plus petite que Diana.


Journaliste : Y avait t-il des looks que Kristen aimait ou détestait particulièrement ?
Jacqueline Durran : Elle a adoré la veste Mondi, le bomber. Mais vous savez, je ne peux pas parler assez d'elle. C'est l'actrice la plus fantastique avec laquelle travailler car elle se consacre entièrement à se lancer dans la création de l'image que vous recherchez. Et elle est totalement prête à tout essayer, mais en même temps, elle donne d'excellentes notes sur ce qu'elle pense qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Et elle a tellement de style. Incroyable ! C'est tellement différent ce celui de la princesse Diana, mais cela montre à quel point son talent est grand.


Journaliste : Avez-vous déjà eu l'impression, en que résidente britannique – vous avez un réalisateur chilien et une actrice américaine qui n'a pas vraiment grandi avec Diana – comme si vous parliez pour l'histoire, ou pour l'Angleterre, en ce qui concerne l'exactitude ?
Jacqueline Durran : Au début, j'étais assez obsédée. Il y avait une chose dans les années 80 en Grande Bretagne, je ne sais pas si vous en avez entendu parler, appelée Sloane Rangers. [Diana] était l'archétype de Sloane Rangers, alors je leur en ai parlé, mais au final, ce n'était pas vraiment le film que nous faisions. Nous faisions le film de Pablo et Kristen. Je n'ai donc pas trop ressenti le poids de la résidente britannique.


Journaliste : Parlons de la robe de mariée. Elle n'est pas vraiment comme la célèbre robe de la vie réelle, vraiment, cette guimauve géante.
Jacqueline Durran : La robe de mariée ! Cela ne figurait pas dans le film principal, c'est [seulement] dans le montage. Et nous n'avions tout simplement pas l'argent pour faire une robe de mariée Diana pour quelque chose qui ne faisait même pas partie de l'histoire principale. Nous avons donc simplement adapté une robe de mariée pour en être une approximation.

Je ne me fais pas d'illusion qu'il y avait des différences entre la robe de Diana et la robe que nous avons confectionné. Mais c'était en quelque sorte l'esprit de la robe, plutôt qu'un réplique exacte. Si vous ne faites pas The Crown et si vous prenez des décisions artistiques sur ce que vous pouvez et ne pouvez pas réaliser, je pense que vous devez simplement faire ces choses parfois.


Journaliste : Et le look marin jaune ? Cela doit être un favori.
Jacqueline Durran : C'était basé à peu près sur quelque chose que Diana portait. Elle est allée passer en revue la Marine, je pense, à Portsmouth. Pablo et Kristen ont adoré l'idée qu'elle porte un chapeau de pirate, alors nous avons fait le chapeau de pirate et nous l'avons fait en jaune et c'était une sorte de costume flottant parce que nous ne savions pas vraiment où il allait s'adapter, mais il devait entrer quelque part. Et puis je pense qu'il a trouvé sa place. [Rires]


Journaliste : Il y a une robe qu'elle porte très tôt pour un dîner de famille formel avec un collier en perles que Charles lui a offert et le look ressemble d'une certaine façon à des menottes dorées – c'est techniquement magnifique, mais elle déteste ça.
Jacqueline Durran : C'était classique, je pense, et assez simple. C'était simplement un choix instinctif. Celui-là était celui que nous avons fait. Et les perles, oui, exactement ça ! Elles étaient belles et oppressantes à la fois.


Journaliste : Tout comme sa vie.
Jacqueline Durran : Oui. [Rires]



jeudi 23 septembre 2021

Spencer : Interview de Kristen lors du panel 'In Conversation With ...' lors du Festival International du Film de Toronto 2021

A l'occasion du panel 'In Conversation With ...' lors du Festival International du Film de Toronto 2021 où elle était invitée spéciale, Kristen a assuré la promotion de Spencer réalisé par Pablo Larraín et a parlé de son personnage de la princesse Diana, de sa façon de l'aborder et de la jouer, de son rôle de mère avec les princes William et Harry, du tournage, de sa relation avec le réalisateur et l'équipe créative a



Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs


* Via The Hollywood Reporter

Toronto : Kristen Stewart réfléchit sur le fait d'interpréter la princesse Diana dans Spencer

Kristen Stewart, qui joue la défunte princesse Diana dans Spencer de Pablo Larraín, dit qu'il y a une grande différence entre elle en tant qu'actrice allant au plus profond du désespoir à l'écran à cause du mariage de son personnage avec le prince Charles et la défunte royale elle-même.


Mercredi, lors d'une discussion au Festival International du Film de Toronto, Stewart a réfléchi à son interprétation de la princesse Diana et a expliqué la façon dont elle se sentait soutenue sur le tournage du biopic qui arrive à Toronto par le biais d'une avant première mondiale à Venise et d'une avant première nord américaine à Telluride.


'La seule différence entre Diana et moi, en particulier, c'est qu'elle était seule et pas moi. J'avais des gens qui me tenaient … J'avais une sorte de filet de sécurité', a déclaré Stewart.


Spencer de Larraín se déroule sur un long week end de Noël au cours duquel Diana décide de mettre fin à son mariage condamné avec le prince Charles. Stewart, tout en exprimant son admiration pour la princesse Diana, a réitéré qu'elle et la défunte royale étaient des personnes assez différentes, malgré le fait que l'actrice hollywoodienne ait été jetée sous les feux d'une superstar similaire après son tour de star dans la franchise Twilight.


'Il n'y avait aucun moyen de jouer parfaitement ce rôle, et donc c'était en fait plus facile, ou du moins plus facile de ne pas être aussi intimidée ou intimidable. Parce que la seule façon d'attraper quelque chose de sauvage est d'être ça, et je ne pouvais être que ma version de ça et j'espère que j'ai appris tout ce que je pouvais apprendre d'elle et ensuite en quelque sorte fusionner et d'être à la fois moi et elle dans ce qui se passait pour être la meilleure version', a t-elle expliqué à propos de l'alchimie requise pour jouer à Diana à l'écran.


Outre l'aide d'un coach vocal pour cerner son accent britannique et enfiler les costumes, les coiffures et le maquillage fournis par l'équipe créative de Larraín pour jouer l'emblématique défunte royale, souvent avec sa pose classique de la tête inclinée, Stewart attribue son étroite collaboration avec le réalisateur chilien pour mettre correctement Diana à l'écran.


'Vous devez être humain et ne pas détruire votre équipe et ne pas profiter des gens, des performeurs et des artistes. Mais si cela vient du bon endroit, vous pouvez vraiment enfoncer quelqu'un dans le sol et il aime ça', a déclaré Stewart au sujet de Larraín. 'En tant que personne ayant l'ambition de faire des films, j'ai été ravivée par lui et époustouflé par son engagement. Son engagement envers sa vision, qui était si particulière et étrange, était sauvage et c'était très cool. Ce sont les seuls types de personnes qui devraient faire des films'.


Elle a fait l'éloge de la directrice de la photographie Claire Mathon – un autre vétéran de l'équipe créative de Larraín – ainsi que la costumière Jacqueline Durran, de la maquilleuse et coiffeuse Wakana Yoshihara et du chef décorateur Guy Hendrix Dyas.


'Claire est un génie. C'est une femme de très peu de mots. Elle est si vigilante. Elle ne pense tout simplement pas à ce qu'elle fait quand elle travaille. Elle reçoit. Je pouvais me lever et courir à travers la pièce et d'une manière ou d'une autre, elle était devant mou avant que j'arrive', se souvient Stewart.


'Certaines personnes sont très préoccupées par leur propre daube – la composition, l'éclairage et ce qu'elles veulent que vous fassiez – par rapport à ce que vous allez leur lancer', a t-elle ajouté.



* Via Indiewire

Kristen Stewart 'très irresponsable' à dit oui à Spencer avant même de lire le scénario


TIFF – Stewart a expliqué la raison pour laquelle elle était si enthousiaste à l'idée de travailler avec Pablo Larraín et la raison pour laquelle 'il n'y avait aucun moyen' de jouer parfaitement la princesse Diana.


Kristen Stewart a suscité l'intérêt des Oscars pour sa performance en tant que princesse Diana dans Spencer de Pablo Larraín, qui fait son chemin dans le circuit des festivals d'automne. Il s'avère que sa décision d'assumer le rôle est venue de son instinct. S'exprimant lors d'une discussion diffusée dans le cadre du Festival International du Film de Toronto, Stewart a déclaré qu'elle n'avait même pas lu le scénario de Spencer de Steven Knight avant de dire à Larraín qu'elle était intéressée à l'idée de jouer l'icône britannique bien aimée.


'Il m'a appelé au téléphone. Au début, je n'avais pas encore lu le scénario et il a proposé cette idée et a dit qu'il faisait ce genre de poème symphonique étrange sur Diana et il m'a demandé si oui on non je serais intéressée d'aborder le sujet avant d'envoyer le scénario', a t-elle déclaré. 'Un peu sans réfléchir, de manière très irresponsable, j'ai dit 'Oui, absolument''.


Stewart a dit que normalement, lorsqu'elle assume un rôle, elle vient d'un lieu [où elle se dit],''Faites moi confiance, je peux le faire', mais elle a dit oui à Larraín, elle 'n'avait pas cela'. L'actrice a ajouté, 'J'aurais pu tout foutre en l'air'.


'Au moment où, en un mot, j'allais dire oui ou non, je me suis dit, 'Qui es-tu si tu ne dis pas oui ?'', a poursuivi Stewart.


Spencer, réalisé par le réalisateur de Jackie, Larraín, et écrit par le créateur de Peaky Blinders, Steven Knight, adopte une approche lyrique de l'histoire de Diana, se décrivant comme une 'fable' qui se déroule sur trois jours tumultueux en 1991 avant que la princesse ne divorce du prince Charles. Cette approche a bien fonctionné avec la sensibilité de Stewart.


'Mes types de films préférés sont les explorations et la culture de ce chaos contrôlé, c'est ainsi que vous faites des découvertes qui valent la peine d'être photographiées', a déclaré l'actrice, ajoutant qu'elle n'avait pas le sentiment d'être obligée de jouer une Diana parfaite.


'Elle est un fil conducteur et quelqu'un qui a cette énergie incroyablement désarmante, décontractée, contagieuse, belle, empathique et chaleureuse qui s'étend, mais en même temps, vous avez toujours l'impression qu'il y a quelque chose qui ne va pas – elle protège quelque chose', a déclaré Stewart. 'On ne sait jamais ce qui va se passer. Elle entre dans la pièce et la terre commence à trembler. Je savais donc qu'il n'y avait aucun moyen de jouer parfaitement ce rôle et donc c'était plus facile. Ou du moins plus facile de ne pas être si intimidé et si intimidante. Je ne pouvais être que ma version de cela et j'espérais que si j'apprenais tout sur elle, que je l'absorbais et que je me mêlais à elle, et que je sois à la fois moi et elle d'une façon étrange, ce serait la meilleure version'.


Il y avait un morceau de Diana que Stewart savait qu'elle devait réussir : son expérience en tant que mère.


'Je pense que sa force et son pouvoir et sa force sauvage et imparable de la nature ressortent vraiment, vraiment lorsqu'elle était avec ses enfants. Elle n'était pas très douée pour se protéger, mais elle était vraiment douée pour les protéger', a t-elle déclaré. 'Si vous ne comprenez pas cela, vous ne la comprenez pas'.


* Via Entertainment Weekly

Kristen Stewart s'est battue pour 'protéger' la dévotion de la princesse Diana à ses fils dans Spencer


L'actrice a déclaré lors d'une conférence au TIFF que recréer l'amour de Diana pour le prince William et le prince Harry était un aspect 'plus effrayant' du tournage. 'Si vous ne comprenez pas les choses correctement, vous ne les comprenez pas correctement'.


De l'avis de tous, Kristen Stewart a donné à la mère de toutes les représentations de la princesse Diana dans Spencer de Pablo Larraín et elle l'a fait avec une attention royale portée à la dévotion de la défunte icône à l'amour maternel.


La jeune femme de 31 ans a révélé mercredi lors d'une discussion virtuelle à l'issue du Festival International du Film de Toronto qu'elle se sentait 'manifestement détachée' de la monarchie britannique en grandissant, mais en recherchant la vie de Diana en tant que mère du prince William et du prince Harry lui a donné 'les plus fortes impressions' de qui elle était en tant que personne.


'C'était la seule chose dans sa vie qui était sûre. Elle voulait se sentir inconditionnelle à propos de quelque chose. Sa force, son pouvoir et sa force sauvage et imparable de la nature sont vraiment ressortis quand elle était avec ses enfants, parce qu'elle n'était pas très bonne pour se protéger, mais elle était très bonne pour les protéger', a déclaré Stewart au public. 'En tant qu'étrangère, je pouvais le ressentir. Cela, je voulais le protéger et c'était un aspect plus effrayant de faire le film parce que si vous ne comprenez pas les choses correctement, vous ne les comprenez pas correctement'.


Elle a décrit Diana comme une personne vers laquelle les gens 'se penchent naturellement' en raison des parties disparates de sa personnalité, y compris un 'mélange étrange de faim, de famine et d'indulgence extrême' qui l'a amenée à être à la fois vulnérable et défensive dans les interviews.


'Elle porte son cœur en bandoulière comme aucune autre. J'ai l'impression qu'elle ne peut rien cacher, et pourtant nous ne savons rien d'elle. C'est simplement quelqu'un vers qui on se penche', a poursuivi Stewart, ajoutant que les libertés artistiques de Spencer – qui fait suite à une réimagination fantastique des vacances de Noël de Diana au domaine de Sandringham, où elle se réconcilie avec la fin imminente de son mariage avec le prince Charles (Jack Farthing) – parle de l'héritage de Diana.


'Elle fournit ce terrain incroyablement luxuriant et compliqué pour faire de l'art. C'est quelqu'un qui est tellement inspirant et a changé le monde et on m'a beaucoup demandé si c'était cool ou non d'essayer de raconter l'histoire de quelqu'un quand il n'est pas là, quelqu'un qui a déjà tellement été envahi et enlevé', a t-elle déclaré. 'Parce que nous ne prétendons vraiment rien savoir ni présenter de nouvelles informations, toute sa force vitale et son énoncé de mission étaient que nous devions nous réunir et trouver une connexion'.


Source: TheHollywoodReporter

Indiewire EntertainmentWeekly

dimanche 18 octobre 2020

Happiest Season : Nouveaux stills avec Kristen, Mackenzie Davis & Dan Levy & nouvelle photo BTS avec Clea DuVall

Le magazine américain Entertainment Weekly a dévoilé des nouveaux stills d'Happiest Season avec Kristen, Mackenzie Davis et Dan Levy et une nouvelle photo BTS des deux actrices avec la réalisatrice Clea DuVall sur le tournage.


* Stills



* Photo BTS



Source: EntertainmentWeekly @EW

Happiest Season : Interview de Kristen, Mackenzie Davis, Clea DuVall & Dan Levy avec Entertainment Weekly

Dans une interview avec le magazine américain Entertainment Weekly pour assurer la promotion d'Happiest Season, Kristen, la réalisatrice Clea DuVall, Mackenzie Davis et Dan Levy parlent du film, du tournage, du coming out ou encore de leur travail étrange de tourner et monter un film pendant la pandémie.



Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs


La période la plus joyeuse de l'année


C'est un doux après midi de juillet à Los Angeles, mais l'espace de montage de Clea DuVall regorge de l'esprit de Noël. La réalisatrice est en train de faire de la magie hivernale dans la dernière version de sa nouvelle comédie romantique Happiest Season, et alors que les éléments habituel d'une célébration des fêtes de fin d'année sont présents – les frasques familiales, les pulls moches – DuVall est également en train de montrer la révolution saisonnière avec le film en rendant Noël super gay.


'J'écris mon propre lieu de vérité et je raconte l'histoire de mon propre point de vue', a déclaré l'actrice réalisatrice gay à propos du projet, coécrit avec sa partenaire de Veep Mary Holland. Happiest Season (dans les salles américaines le 25 novembre) met en vedette Kristen Stewart et Mackenzie Davis dans le rôle d'Abby et Harper, un couple lesbien se rendant dans les pénates en banlieue de cette dernière pour la fête de Noël annuelle de sa famille conservatrice. Harper n'a pas fait son coming out auprès de ses parents (Mary Steenburgen et Victor Garber), et la pression croissante de la sexualité réprimée menace de refroidir la connexion brûlante du couple.


'J'ai passé des Noëls avec des partenaires dont les parents ne savaient pas … J'ai été 'l'amie' lors des réunions familiales', dit DuVall, 43 ans. Le film délivre un message universel de vivre à la hauteur des attentes 'meurtrières' de ses proches – seulement intensifié par la sexualité du couple. 'Lors d'un voyage comme celui du coming out, vous n'avez aucune idée de ce qui va se passer ou de la façon dont les gens vont réagir et c'est effrayant', explique DuVall. 'Il y a une partie de votre vie qui change une fois que vous le faites'.


Stewart a rapidement senti l'importance de l'histoire. 'J'ai grandi en regardant et en aimant des films conventionnels comme celui-ci. Voir des gens [marginalisés] s'aimer au milieu de quelque chose de tellement standardisé était vraiment exaltant et libérateur', déclare la star de Charlie's Angels, 30 ans. 'Il y a un manque de confusion et de généralisation que Clea apporte [en tant que femme lesbienne]. Je veux que les gens voient que deux filles amoureuses sont tellement amoureuses'.


Stewart et Davis étaient tellement investies dans le film qu'elles sont restées fidèles à plusieurs de dates de production repoussées au cours de l'année écoulée, ce qui a laissé aux actrices le temps de se lier. 'C'est une façon étrange de faire connaissance avec quelqu'un, d'avoir un rendez vous tous les quatre mois', dit Davis (San Junipero de Black Mirror), 33 ans. 'Une fois que nous sommes arrivées [sur le tournage], c'était comme si quelque chose venait d'exploser. Je suis tombée amoureuse'.


Cette passion donne au film son ton plein d'espoir, rejetant la longue histoire d'Hollywood de marier la romance lesbienne à la tragédie. 'Les personnes hétérosexuelles ont tendance à écrire ce qu'elles pensent savoir sur les homosexuels ou les lesbiennes', dit Dan Levy de Schitt's Creek, 37 ans, qui joue John, une subversion ludique du trope de 'meilleur ami gay' qui rejoint Abby dans la maison d'Harper pour la sauver de l'enfer des fêtes de fin d'année. Stewart ajoute, 'Vous ne regardez pas [Happiest Season] et vous vous dites, 'Mon dieu, que va t-il leur arriver, parce que le monde est effrayant ?'. Vous le savez déjà. C'est un putain de film de Noël romantique. Ça marchera. Et vous voulez voir comment cela fonctionne. C'est soulageant de se permettre de respirer. C'est une nouvelle sensation'.


La création d'un film sur le thème de la solidarité au milieu d'une pandémie est également un territoire inconnu. De nombreux cinémas à travers le pays restent fermés, mais DuVall est optimiste quant à la sortie d'Happiest Season, savourant l'importance de montrer deux femmes se bécotant sous le gui dans un genre traditionnellement imprégné de plats de Noël hétéro.


'Nous sommes tous séparés et nous ne pouvons pas voir ou étreindre nos amis, [alors] regarder ces gens se connecter est émouvant', dit DuVall depuis son espace de montage isolé, avec un soupçon de désir dans la voix. 'C'est une histoire tellement humaine et c'est l'humanité à laquelle nous sommes tous confrontés en ce moment. Voir l'empathie et la compassion modelées [à l'écran], j'apprécie ça. Nous avons tous besoin de ce genre d'étreinte'.


Source: EntertainmentWeekly @EW

Scans: @MDavisBR


jeudi 10 septembre 2020

Nouveaux/anciens outtakes de Kristen, Robert Pattinson & Taylor Lautner pour le magazine Entertainment Weekly [2011]

Découvrez des nouveaux/anciens outtakes de Kristen, Robert Pattinson et Taylor Pattinson pour la promotion de Breaking Dawn Part.1 tirés de leur photoshoot pour le magazine américain Entertainment Weekly (2011).




Source: @AdoringKS

mardi 19 mai 2020

Kristen en couverture du magazine américain Entertainment Weekly pour son édition spéciale LGBT+

Kristen fait la couverture du magazine américain Entertainment Weekly pour son numéro spécial Pride, dédié à la communauté LGBT+ d'Hollywood, avec pléthore de stars hollywoodiennes. La couverture est illustrée par l'artiste britannique Jack Hughes, car l'organisation d'un photoshoot en période de pandémie n'a pas été possible.




* Rang du haut, de gauche à droite : Janelle Monáe, Freddie Mercury, Kate McKinnon, Ricky Martin, John Waters, Dan Levy
* Rang du milieu, de gauche à droite : Ellen DeGeneres, Rock Hudson, Laverne Cox, Lily Tomlin, Kristen Stewart, Lil Nas X, George Takei, Ryan Murphy, Cynthia Nixon, Marlene Dietrich
* Rang du bas, de gauche à droite : RuPaul, Elton John

Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs

Pride Pour Toujours : Le numéro LGBT+ d'Entertainment Weekly célèbre les nouveaux conteurs, les icônes durables et l'histoire d'Hollywood

Dans les coulisses de la réalisation d'un hommage illustré aux stars LGBT+.

Comment organisez-vous une célébration au milieu d'une pandémie mondiale ? Pour notre numéro annuel Pride, les rédacteurs d'Entertainment Weekly se sont tournés vers le pouvoir de l'art.

Notre couverture de juin est toujours un hommage aux artistes LGBT+. Mais cette année, nous avons été confrontés à des obstacles assez décourageants.

Nous avions de grands rêves : ramener les festivités de la Pride à un public incapable de participer aux grands défilés et fêtes et rendre hommage aux conteurs LGBT+ d'Hollywood – passés, présents et futurs.

Mais marquer le mois avec une grande séance photo bouleversante et élaborée avec une distanciation sociale était définitivement impossible.

Nous avons donc fait équipe avec l'illustrateur londonien Jack Hughes pour créer un type de couverture d'Entertainment Weekly totalement différent – qui rend hommage au rôle central que les artistes LGBT+ ont joué à Hollywood depuis ses tout débuts.

Notre inspiration est venue des grandes peintures murales et couvertures de magazines des années 20 et 30. Et un peu comme un mini-WPA, qui employait des artistes à travers le pays pendant cette période, nous voulions mettre en lumière des artistes talentueux à une époque de grandes difficultés économiques.

La couverture – et en fait la totalité de notre ensemble de couvertures Pride – a été créée en collaboration avec des illustrateurs LGBT+ dans le but de rendre l'expérience Pride plus riche pour les gens coincés chez eux (même le portrait de la lettre de mon éditeur est une œuvre d'art – par le grand Michael Hoeweler).

Pour notre illustration de couverture et la diffusion d'ouverture de notre package Pride, Hughes a travaillé en étroite collaboration avec le rédacteur adjoint en charge du design d'Entertainment Weekly, Chuck Kerr, pour placer 18 stars LGBT+ emblématiques dans une fête imaginaire dans les collines d'Hollywood.

'En tant qu'artiste LGBT+, je sais à quel point la présentation dans les médias est importante', explique Hugues. Avec une attention minutieuse aux détails, il a juxtaposé les légendes du passé avec les stars d'aujourd'hui et une nouvelle génération montante de talents.

Le résultat ? Le genre de mélange que nous rêverions tous d'aller : avec Rock Hudson se frottant les coudes avec Ellen DeGeneres, Marlene Dietrich coupant un tapis avec Cynthia Nixon, Freddie Mercury saluant chaleureusement Janelle Monáe et Ryan Murphy portant la cape de Liberace.

Et parce qu'Entertainment Weekly aime les clins d'oeil, Hughes en a caché quelques uns dans notre tableau – je ne gâcherai pas votre plaisir en les nommant tous, mais mon préféré est une copie du tout premier numéro d'Entertainment Weekly, sorti en 1990, avec le chanteur révolutionnaire kd lang sur la couverture.

Cela fait partie d'une vaste célébration de la Pride qui comprend des entrevues avec Greg Berlanti, Hannah Gadsby et la star montante Hayley Kiyoko, entre autres. Il y a aussi une table ronde avec les auteurs LGBT+ les plus en vogue et une plongée profonde dans la vie complexe et l'héritage d'un Hollywood original : Paul Lynde.

Mais ce n'est que le début. Tout au long du mois de juin, nous vous présenterons la Pride de toutes sortes de façons amusantes – avec plus d'histoires, de célébrations et une nouvelle série audio passionnante, Untold Stories : Pride Edition (lancement le 8 juin), qui se penchera sur la vie, les amours et les luttes des pionniers LGBT+ d'Hollywood.


Tout a commencé avec le désir de vous offrir quelque chose de spécial – l'une des rares couvertures illustrées que nous avons réalisées au cours de nos 30 ans d'histoire. Nous espérons que cela remontera le moral dans les moments difficiles. Et comme le dit Hughes, nous espérons que cela inspirera les conteurs de l'avenir. 'Le combat n'est pas terminé', explique l'artiste. 'Nous devons poursuivre le travail de ceux qui nous ont précédés'.

* Vidéo commentée par l'artiste Jack Hugues de son travail sur la couverture du magazine




Source: @EW @EW

lundi 11 novembre 2019

Kristen, Elizabeth Banks, Naomi Scott & Ella Balinska en couverture du magazine Entertainment Weekly (Version digitale)

Who Runs The World ? GIRLS ! Kristen, Elizabeth Banks, Naomi Scott et Ella Balinska aka Bosley et ses Anges font la couverture du magazine Entertainment Weekly (version digitale) pour la promotion de Charlie's Angels. Elle se confient à propos du film, de leurs personnages ou encore du tournage dans l'interview.



* GIFS du photoshoot









* Photo



* Vidéo BTS du photoshoot





Traduction de l'interview à venir 


Source Entertainment Weekly: 1 2 3
GIF: TeamKristenSite

samedi 5 janvier 2019

Kristen parmi le top des '30 Moments Les Plus Marquants de la Mode en 2018' selon Entertainment Weekly

Kristen avait sensation en mai dernier, lors du Festival du Film de Cannes, où elle officiait en tant que membre du jury, lorsqu'elle avait retiré ses escarpins sur le tapis rouge de la Croisette pour monter les célèbres marches pieds nus pour l'avant première du film de Spike Lee, BlacKkKlansman.
Et ce moment lui permet de donc de figurer parmi le top des '30 Moments Les Plus Marquants de la Mode en 2018' selon Entertainment Weekly.




Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs

#17 Pieds nus sur la Croisette

Il y a trois ans, cela a provoqué un scandale lors du Festival de Cannes lorsque certaines femmes se sont vues refuser l'accès à une avant première parce qu'elles portaient des chaussures plates, faute de respecter le code vestimentaire. Alors qu'elle participait à l'avant première de BlacKkKlansman à Cannes en mai dernier, Kristen Stewart a montré à l'événement français ce qu'elle pensait de sa politique sexiste en retirant totalement ses escarpins Louboutin (à la vue des photographes présents sur le tapis) pour monter les escaliers pieds nus. Mon dieu !


Via: @Mel452

samedi 13 octobre 2018

Lizzie : Interview de Kristen avec Entertainment Weekly

A l'occasion de la press junket américaine de Lizzie, Kristen parle du film, des personnages, du tournage, de l'histoire des Borden et de sa collaboration avec Chloë Sevigny dans une interview avec Entertainment Weekly.



Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs


Kristen Stewart s'exprime sur le fait d'avoir filmé des scènes lesbiennes 'honnêtes' dans le biopic Lizzie

Lizzie de Craig William Macneill (en salles aux Etats Unis le 14 septembre), se plonge dans les entrailles de l'histoire spéculative avec sa réinterprétation féministe des meurtres mystérieux de la famille Borden, qui suggère que l'infâme meurtrière (Chloë Sevigny) s'est révoltée contre les abus de son père avec sa petite amie et femme de chambre irlandaise lesbienne, Bridget, interprétée par Kristen Stewart. Elle explique à Entertainment Weekly la raison pour laquelle les oppresseurs patriarcaux devraient tenir compte de l'avertissement sanglant du film – et comment le projet évite d'habiller ses amants centraux dans des clichés de cinéma homosexuels.


Journaliste : Alors, du sexe dans un pigeonnier et un meurtre sanglant : c'est l'histoire d'amour qui réchauffe le cœur de l'année.
Kristen Stewart : [Rires] Putain ouais !

Journaliste : L'histoire de Lizzie est en réalité devenue au fil des ans une légende pulpeuse, presque naïve, qui la déshumanise en quelque sorte. Pensez-vous que ce film réintroduit un élément humain manquant ?
Kristen Stewart : Je pense que le véritable crime salace, frénétique dans les médias s'est transformé en folklore. Tout le monde connaît le titre, mais c'est sympa de regarder à l'intérieur, de lire le texte et de considérer que de nombreux détails ont été ajoutés … Elle était vraiment en colère. Quelque chose a dû la mettre en colère. Elle n'est pas juste folle dans son esprit … Je n'encourage pas à faire preuve de compassion pour les meurtriers. Je ne pense jamais que le fait d'être super violent est nécessairement la solution à tout. Mais c'est bien de prendre une histoire que tout le monde connaît si bien sur un plan vraiment noir et blanc et lui donner vie.

Journaliste : Y a t-il une rébellion punk-rock dans tout cela, étant donné toutes les libertés tordues que vous prenez dans ce film ?
Kristen Stewart : Absolument … Je suis allée à Savannah [pour tourner] deux jours après l'élection de Trump. Ces conversations très bruyantes qui se déroulent actuellement ne sont pas nécessairement au premier plan du fil d'actualité de chacun sur son téléphone. Ce n'était pas quelque chose qui a été si persistant dans la presse en ce moment. Alors oui, je pense que lorsque nous avons fait le film, on se disait, 'Mon dieu, imaginons deux femmes qui ont ces vides béants, et elles se reconnaissent mutuellement' … Leurs instincts sont tellement opposés, mais elles remplissent la voix de l'autre de telle manière qu'elles se renforcent suffisamment pour en quelque sorte dire, en fait, 'J'ai en fini avec le fait d'être exploitée et totalement contrôlée sans aucune option pour le reste de ma vie. Je suis fondamentalement une prisonnière dans mon propre ménage'.
C'est divertissant et c'est une histoire tragique. Tout le monde est à fond dans le vrai crime, tout le monde veut savoir comment quelqu'un pourrait être capable de quelque chose d'aussi odieux … Mais pour ce film, nous ne sommes pas des compatisseurs, mais nous disons simplement qu'il était beaucoup plus difficile de vivre en tant que femme à l'époque et nous continuons à batailler et nous battre et à reconnaître des choses pour la première fois, donc c'est plutôt excitant à imaginer : A quoi ressemblait 'le fait d'être gay' à l'époque ? A quoi [la vie] de jeunes filles qui avait des sentiments vraiment chaleureux, transcendants avec des phéromones qui volaient entre elles et un soutien qu'elles n'avaient pas imaginé de la part d'une autre personne ressemblait ? Et pourtant, elles portent des corsets et [Bridget est en train de] de balayer le sol et elle est mise à profit par [son] employeur. Imaginez toutes les histoires différentes qui ont été racontées, mais en partie complète.

Journaliste : Chloë m'a dit qu'elle voulait faire tomber le patriarcat avec ce film. Avez-vous canalisé votre rage contre le patriarcat ?
Kristen Stewart : [Bridget est] en conflit sur ses sentiments naturels et elle n'est pas aussi franche que Lizzie car, dans son esprit, elle n'a pas ce droit. Elle vient de l'extrême pauvreté ; elle est complètement perdue en Amérique. Elle est complètement seule. Lorsqu'elle rencontre Lizzie … C'est un esprit qui l'a convaincue à cause de leur reconnaissance mutuelle … Je n'ai jamais goûté à cette [rage] parce que je jouais contre quelqu'un qui était complètement maîtrisée. Théoriquement, oui, je voulais absolument faire partie de ce film parce que vous voyez ces deux filles complètement opprimées et incapables de respirer et d'être étranglées. Le choix n'est probablement même pas un mot qui existe dans le domaine de leur vocabulaire … Même si cela ne se termine pas très bien pour l'une ou l'autre, simplement être capable de regarder deux personnes qui ne sont pas autorisées à foutrement être elles-même et simplement être bien ou heureuses pendant une seconde, simplement partager quelques instants et en quelque sorte respirer ensemble à l'unisson est, pour moi, si triomphant.

Journaliste : Bridget fait face à des problèmes qui font actuellement les gros titres : elle est agressée sexuellement par Andrew et elle hésite à en parler, de peur de perdre son emploi. Je sais que vous ne tentez pas de comprendre les meurtriers, mais dans le monde tordu de ce film, les meurtres sont-ils justifiés puisque le père de Lizzie est un agresseur ?
Kristen Stewart : Je ne veux pas mâcher mes mots et dire que c'est évidemment la raison pour laquelle Lizzie a dû le tuer. Je ne justifierai jamais la violence, mais nous sommes tous des animaux. Si vous attrapez un animal après l'avoir enfermé dans une cage et avoir fait des choses bizarres, que va t-il se passer ? Il va mordre en retour. C'est satisfaisant de voir ce tournant … Théoriquement, c'est une justification totale. Lizzie n'était pas un monstre diabolique et fou ; elle était une victime d'abus.

Journaliste : La scène de meurtre célèbre se déroule à nu. Qu'avez-vous ressenti à ce sujet ?
Kristen Stewart : J'adore ce détail … Le fait que nous la voyions commettre ce meurtre entièrement nu, elle devient sauvage. Elle devient un animal. Elle est visuellement, remarquablement féminine à ce moment-là et aussi remarquablement forte … L'image du visage de Chloë, concentré, éteint, exécutant ce meurtre avec des éclaboussures de sang alors que vous voyez ses tétons en premier plan – vous feriez mieux de faire attention, mon pote !

Journaliste : C'est intéressant pour moi car la scène de sexe est entièrement habillée et ce n'est que lors des meurtres qu'elles ont dénudé leurs corps.
Kristen Stewart : Nous n'avons jamais incluses dans des [scénarios] trop beaux. Nous ne nous sommes jamais dit, 'Bon alors arrache ton corset !'. Bien sûr on ne l'arrache pas ! Il faut environ 10 minutes pour le retirer, alors si nous allons b**ser, nous allons le faire avec nos vêtements ! Ce niveau d'intimité, cette sorte d'échange silencieux, calme et chuchoté qu'elles ont [convient]. C'était présent et honnête. Idem pour la scène du meurtre : elles ne pouvaient pas porter des vêtements parce que le sang leur coulait dessus, elles ont donc dû les enlever. [Mais] voir Chloë nue avec une hache … Est tellement représentatif de ce que raconte ce film. Inversement, nous, dans nos vêtements, tout en étant intimes, essayons de passer sous ces liens, en essayant tellement fort de gagner quelques centimètres de proximité … Nous avons réalisé ce que qui est sexy, c'est l'immédiateté de ne pas se déshabiller.

Journaliste : Comment avez-vous abordé le fait de présenter la relation de même sexe de manière intime, sans l'exploitation sexuelle ?
Kristen Stewart : Naturellement, du point de vue d'un initié. [C'est] une histoire bizarre dans un film qui ne définit pas le film dans son intégralité – c'est foutrement cool de faire des films nuancés, superposés et fidèles à la vie plutôt que de prendre quelque chose qui compte pour moi et de d'en faire quelque chose de cliché et de large. Cela pénètre sous ma peau ; je déteste le voir présenté de cette façon. {Pour elles], le mot 'gay' ne compte pas. C'est un instinct qui n'a pas de nom.

Journaliste : Chloë et Bryce ont déclaré avoir eu des rencontres spirituelles avec quelques présences fantomatiques avant et pendant le tournage de ce film. Avez-vous été épargnée ?
Kristen Stewart : Non, je n'ai jamais été visitée. [Rires] Je pense totalement que Chloë a eu une expérience vraiment trippante … Elle a eu une nuit troublée et elle ne pouvait pas dormir et elle était persuadée que c'était Andrew qui disait, 'Non !'. Moi, par contre, je n'ai pas eu d'expérience spécifique. Lorsque vous faites un film sur une personne réelle – surtout s'ils ne vivent plus – c'est comme cette chose où … Vous vous demandez s'ils peuvent vous voir attraper votre nez ou quelque chose comme ça. Vous vous demandz comment ils vous oublient … Une petite rafale de vent. Chloë était tellement consumée, oh, ça doit être Lizzie !


Journaliste : Eh bien, si les esprits vous rendent visite à l'avenir, nous espérons pouvoir dire que vous avez fait un excellent travail sur le film.
Kristen Stewart : Mon dieu, j'espère que oui !

dimanche 12 août 2018

Lizzie : Nouveau still de Kristen & Chloë Sevigny

Découvrez un tout nouveau still de Kristen et Chloë Sevigny aka Bridget Sullivan et Lizzie Borden tiré de Lizzie de Craig William Macneill dévoilé par Entertainment Weekly.




Via: @Mel452

samedi 7 avril 2018

Breaking Dawn Part.1 : Nouveaux outtakes de Kristen, Robert Pattinson & Taylor Lautner pour le magazine Entertainment Weekly [2011]

Découvrez une nouvelle série d'outtakes de Kristen, Robert Pattinson et Taylor Lautner tirés des portraits promotionnels de Breaking Dawn Part.1 pour le magazine Entertainment Weekly shootés en 2011.






mercredi 17 janvier 2018

Lizzie : Le film parmi le top des '10 Films Que Vous Devez Voir à Sundance 2018' selon Entertainment Weekly

Lizzie de Craig William Macneill avec Kristen et Chloë Sevigny dans les rôles phares fait partie du classement des  '10 Films Que Vous Devez Voir à Sundance 2018' selon Entertainment Weekly.
Rappelons que le film sera projeté en avant première mondiale lors du Festival du Film de Sundance 2018, le 19 janvier. 




Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs


Lizzie

Chloë Sevigny a une hache (et donne 40 coups) dans ce thriller psychologique explorant le cas du 19ème siècle de Lizzie Borden et l'un des meurtres les plus célèbres de l'histoire américaine. Kristen Stewart apparaît en tant que femme de chambre et amante irlandaise de Lizzie.


Scan digital du magazine Entertainment Weekly reprenant le top



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