A l'occasion de la press junket américaine de Lizzie, Kristen et Chloë Sevigny parlent du film, du tournage, de leurs personnages et de leur entente hors écran dans une interview avec Den Of Geek.
Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs.
[Extrait]
Journaliste : Comment avez-vous vous fait pour vous mettre dans la peau de vos personnages ?
Chloë Sevigny : Je me suis plongée à fond dedans. Mais j'ai développé ce projet pendant de nombreuses années, j'ai donc lu tous les bouquins, toutes les pièces, tous les articles de journaux et j'ai vu toutes les séries, bonnes ou mauvaises. Je me suis complètement immergée dans cette histoire ces dix dernières années. J'ai lu beaucoup de choses sur Emily Dickinson [note du staff : poète américaine] et sur des femmes de cette époque et sur ce qu'était leur environnement de vie à toutes. Mais on a du créer notre propre environnement. Car vous savez, les fans de Lizzie Borden diraient, 'Ce n'est pas vrai ! Et ça non plus !'. On a du donc s'approprier notre histoire, l'histoire que nous voulions raconter et comment on voulait la raconter.
Journaliste : Comment avez-vous vous fait pour vous mettre dans la peau de vos personnages ?
Chloë Sevigny : Je me suis plongée à fond dedans. Mais j'ai développé ce projet pendant de nombreuses années, j'ai donc lu tous les bouquins, toutes les pièces, tous les articles de journaux et j'ai vu toutes les séries, bonnes ou mauvaises. Je me suis complètement immergée dans cette histoire ces dix dernières années. J'ai lu beaucoup de choses sur Emily Dickinson [note du staff : poète américaine] et sur des femmes de cette époque et sur ce qu'était leur environnement de vie à toutes. Mais on a du créer notre propre environnement. Car vous savez, les fans de Lizzie Borden diraient, 'Ce n'est pas vrai ! Et ça non plus !'. On a du donc s'approprier notre histoire, l'histoire que nous voulions raconter et comment on voulait la raconter.
Journaliste : Qu'est-ce qui à propos de cette affaire la rend pertinente aujourd'hui ?
Kristen Stewart : Le fait que cela reste encore un mystère. Nous ne sommes pas certains si c'était elle ou non. Et le fait qu'une femme pourrait être capable d'une tel crime haineux. Et que ce fut un tel choc pour les gens que les personnes qui étaient les oppresseurs soient tellement choqués de réagir à ce genre de chose. Car ils ne connaissent pas l'existence de cette oppression puisqu'ils sont les oppresseurs ... C'est le bon moment de faire ce genre de film, car maintenant on peut voir le fond de tout ça et dire, 'Je ne cautionne pas la violence et le meurtre', mais vous pouvez voir l'équation qui fait que nous sommes tous égaux à la fin. C'est intéressant de pouvoir s'imaginer ce qu'il a pu se passer. Quand tout n'est pas blanc ou noir ... Ce n'est pas juste, 'Cette fille est un monstre et donc elle a tué son père', c'est, 'Non, beaucoup de choses se sont passées avant tout ça !'. C'est donc plutôt cool de pouvoir s'imaginer ce qu'il a pu hypothétiquement se passer.
Journaliste : Y avait-il un moyen de pouvoir alléger l'ambiance sur le plateau de tournage ?
Choë Sevigny : On a passé énormément de notre temps à tourner, car notre planning était très serré. Mais on avait du temps après. Il y avait ce bar assez connu à Savannah qui s'appelle 'Pinky Masters', c'est est un peu notre point de rassemblement. C'était très sympa, on mettait en route le jukebox et oui, on se détendait après le boulot. On devait se détendre, je veux dire le sujet du film était tellement intense. Il y avait tellement de contraintes sur le tournage et tout ça.
Kristen Stewart : Oui, on enlevait nos corsets et on se disait, 'Okay, maintenant on va aller se détendre'. Car si après le boulot, on partait se coucher et revenait directement le lendemain, vous devenez fous.
Choë Sevigny : On a passé énormément de notre temps à tourner, car notre planning était très serré. Mais on avait du temps après. Il y avait ce bar assez connu à Savannah qui s'appelle 'Pinky Masters', c'est est un peu notre point de rassemblement. C'était très sympa, on mettait en route le jukebox et oui, on se détendait après le boulot. On devait se détendre, je veux dire le sujet du film était tellement intense. Il y avait tellement de contraintes sur le tournage et tout ça.
Kristen Stewart : Oui, on enlevait nos corsets et on se disait, 'Okay, maintenant on va aller se détendre'. Car si après le boulot, on partait se coucher et revenait directement le lendemain, vous devenez fous.
Source: DenOfGeek
Via: @StewartQuotes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire