Dans une interview le magazine américain Vogue, Kristen parle de Chanel et du nouveau parfum Gabrielle dont elle est l'égérie et qui sera lancé en septembre prochain.
Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs
Lorsque Kristen Stewart a
rasé son carré dégradé au début du mois de mars, laissant
derrière elle un amas de cheveux soyeux blonds décolorés, il a
semblé que pendant un bref moment le monde – tant qu'il existe des
actualités à propos des célébrités – ait arrêté de tourner.
'Les événements ont simplement coïncidé, parce que je
voulais le faire depuis toujours', révèle l'actrice âgée
de 27 ans quelques semaines après le buzz provoqué par sa coupe de
cheveux rasée sur le tournage de son nouveau film, Underwater,
à la Nouvelle Orléans. Une coupe rasée au millimètre logique pour
le drame d'action à gros budget, qui exige que Stewart porte une
tenue d'ingénieur – avec un casque – lors de la majorité du
film. De plus, le style simplifié a été essentiel pour transmettre
une certaine 'force' à la caméra, révèle t-elle –
le style nécessaire à une héroïne improbable qui doit surmonter
une chaîne cataclysmique d'événements. Mais Stewart veut clarifier
une chose : il ne s'agit en aucun cas de lire comme étant
masculin. 'Immédiatement après l'avoir fait, j'ai eu le
sentiment indéniable d'être féminine', explique t-elle. Le
look exposant le décolleté lui a également donner le sentiment
d'être plus grande et plus mince, lui permettant de s'ouvrir et de
porter des couleurs plus vives, un nouveau décolleté et une
fragrance surprenante qui refuse d'être cataloguée simplement comme
une autre fragrance fleurie.
'Il sent vraiment
bon – en particulier sur moi',
dit Stewart en riant tout en discutant de Gabrielle, le premier
parfum à gros budget de Chanel en quinze ans. Pour quelqu'un dont
l'histoire olfactive a des racines précaires – 'Pour
être assez honnête, j'aime Old Spice'
– la star de Twilight
devenue la chouchoute de Cannes n'était pas nécessairement la femme
que le parfumeur Olivier Polge avait à l'esprit lorsqu'il a commencé
à travailler sur le jasmin, le mélange de la fleur d'oranger et de
l'ylang-ylang qui comprend une souche exclusive de tubéreuse
crémeuse distillée dans les jardins privés de Chanel à Grasse.
Mais Gabrielle, la fragrance, tout comme son homonyme, Gabrielle
Chanel – avant qu'elle ne soit Coco – est difficile à définir.
Dans notre société de
plus en plus agnostique en terme de genre, dans laquelle les
fragrances deviennent de plus en plus unisexe, afficher quelque chose
de délibérément féminine, comme Polge avec sa toute dernière
création, est presque nouveau. Mais il est peut être temps de
réévaluer la façon dont nous appliquons ce terme dans un contexte
de beauté. 'Cela n'est ni girly ni frivole d'aucune façon',
insiste Stewart, qui sera le visage du parfum, lancé en septembre.
Au lieu de cela, la bouteille dorée évoque ce qu'elle décrit comme
'l'essence de base' de Chanel, ce que les Français appellent
l'insoumission, un mot qui se situe quelque part entre la révolte et
la désobéissance en anglais, même si la définition de Stewart,
ayant une qualité 'inébranlable', le décrit plus
précisément.
Dans son rôle
d'ambassadrice Chanel, Stewart a été endoctrinée dans l'amour
entourant la fondatrice de la maison française : elle a visité
l'appartement parisien de Mademoiselle [Coco Chanel] et elle a été
mise au parfum des retentissements et virages qui l'ont aidé à
passer d'une chanteuse de cabaret orpheline à une créatrice de
mode, une couturière, une parfumeuse, une créatrice d'une marque et
une femme défiant toutes les attentes compliquées dont la légende
continue de résonner avec les femmes dans le monde 107 ans après
avoir ouvert son premier magasin sur la rue Cambon. Mais la façon
dont Stewart se connecte à la non conformité de Chanel se révèle
rafraîchissante. 'Il est difficile de parler de vous de cette
manière, mais j'aime imaginer que j'agis de mon propre gré et qu'il
n'y a rien de vraiment extérieur qui puisse faire dérailler les
choses les plus profondes qui me font avancer',
reconnaît-elle au sujet de sa propre force motrice. 'J'ai
le sentiment d'être très digne vis à vis de cela à ce stade de ma
vie',
dit Stewart à propos du profil du parfum impénitent. 'Ce
qui est un sentiment génial'.
Source: @jilliandempsey
Scans: @TeamK_1
Via: TeamKristenSite
Via: TeamKristenSite
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