Dans une interview avec Efe, Kristen et Jesse Eisenberg parlent d'American Ultra, de leur collaboration, de la célébrité et du prochain film de Woody Allen.
Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs
Après avoir joué dans
Adventureland en 2009, Kristen Stewart et Jesse Eisenberg sont
réunis dans American Ultra, un film indépendant autour d'une
histoire d'amour qui continue dans la lignée de leur film
commun précédent, mais qui se tranforme rapidement en une comédie
d'action et qui devient quelque chose de très différent.
'Vous pensez que
vous allez aller dans une direction complètement différente lorsque
soudainement (Jesse) tue trois types avec une cuillère et nous
sommes attaqués par le gouvernement',
a déclaré Stewart dans une interview avec Efe.
American
Ultra,
qui sort en salles le 21 août aux USA [19 août en France], raconte
l'histoire d'un jeune homme pris au piège dans une petite ville où
il passe la journée à fumer de la marijuana avec sa petite amie et
à
dessiner des bandes dessinées sans aspiration et il est soudainement
hanté par la CIA.Ce
que le protagoniste ne sait pas c'est qu'il a vraiment été formé
pendant des années et que sa mémoire a été effacée, mais
'réactivée' par un agent et qu'il est toujours en mesure de faire
face à une armée.
Bien
qu'il soit un film radicalement différent, Stewart et Eisenberg
conviennent qu'American
Ultra
signifie en
quelque sorte une 'continuité' d'Adventureland
, une
bande nostalgique qui a donné vie à un couple connu pour travailler
pendant l'été dans un parc d'attractions.
'Je pense qu'il y a
une ligne qui relie Advendtureland et ce film. Cela pourrait
totalement être spin-off fou parce que nous sommes les mêmes
gamins',
dit Stewart.
L'actrice,
qui est devenue célèbre dans le monde entier grâce au succès de
la Saga Twilight,
premier saut dans le champ de
l'action,
mais
elle le fait dans un film qui, comme on l'a souligné, accorde une
attention particulière aux personnages et aux combats et aux
explosions mélangés
avec de l'humour et de la romance.
Stewart se souvient qu'au
début du projet, elle a passé deux jours enfermée dans une pièce
avec avec ses partenaires pour lire le scénario et décider de tous
les détails concernant l'interprétation.
Le résultat est une
combinaise d'humour, de violence et de personnages très particuliers
rappellant certains films cultes.
'Je pense qu'il
s'agit d'un film qui peut attirer pas mal de gens, mais c'est si
inhabituel donc je pense que le public le ressentir s'il y a quelque
chose venant de vous', a déclaré Eisenberg à Efe (The
Social Network, Zombieland).
Stewart et Eisenberg ont
passé une grande partie du film à être supris par l'action, se
demandant ce qui se passe tout autour d'eux, un sentiment dont les
deux artistes disent souvent qu'ils souffrent dans la vie réelle à
cause de la célébrité.
'Nous sommes
exposés à une telle réponse massive'
qui 'est écrasante et déroutante et
déconcertante',
explique Stewart, 25 ans.
Selon
Eisenberg, en travaillant à Hollywood, il est facile d'être mal
compris.
'Parfois, les gens
nous écrivent comme si nous étions Kadhafi, comme si nous
justifions une réponse publique, alors que ce que je fais dans ma
vie personnelle mérite zéro attention. Et ce que je fais
professionnellement justifie une réponse modérée',
dit-il.
Après
Adventureland
et American Ultra,
les deux acteurs sont prêts pour leur prochaine réunion placée
dans les mains de Woody Allen.
Ils
vont apparaître dans le prochain projet de New York, dont le
tournage commence ce mois à New York et Los Angeles et ils ne
peuvent donner guère de détails.
'C'est comme un
film Marvel avec énormément de secrets',
rit Eisenberg, qui a travaillé avec Allen sur To
Rome With Love.
Stewart,
qui fera ses débuts avec le prestigieux réalisateur, dit qu'elle
toujours 'été fascinée par l'esprit
responsable de tous ces films qui lui parlent et lui disent
beaucoup'.
'Mes
rôles sont toujours tellement calmes, toujours des personnes
tranquilles. Je suis très heureuse d'être en mesure d'utiliser ma
voix et de travailler avec',
dit-elle.
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