Traduction faite par le staff de Kstew France merci de créditer AVEC lien
Kristen Stewart a séduit le monde en jouant l’idole des
adolescents, Bella Swan. Mais son entrée dans l’âge adulte est loin d’être un
conte de fées. Christa D’Souza rencontre une jeune femme pris au piège d’un
scandale très public.
Cela a commencé assez simplement. J’allais à LA pour
interviewer une des plus grandes stars au monde à propos de son prochain film.
A 22 ans, Kristen Stewart a tout juste été listé par Forbes Magazine comme
étant l’actrice la plus payée à Hollywood, une richesse largement dû à
Twilight, la saga aux vampires dans laquelle elle joue l’idole vierge Bella
Swan. L’introverti par excellence, connu pour son côté provocant Stewart était
en seconde place doublée par Kate Middleton, en termes d’intérêt public, un intérêt
nourri par notre fascination de sa relation hors caméra avec sa co-star Robert
Pattinson qui a fait salivé le monde leurs histoires qu’ils ne sont pas ou
qu’ils sont ensemble.
Par exemple, cependant, Stewart faisait la promotion d’un
petit projet indépendant : l’adaptation cinématographique du roman
autobiographique de Jack Kerouac Sur la Route. Le livre a été une de ses
passions – bien sûr que ça l’a été – et elle avait fait pression et encore
pression pour le rôle de Marylou, 16 ans (l’électron libre basé sur la femme de
Neal Cassidy, LuAnne qui a également eu une affaire avec Kerouac). Marylou
était à des années lumières du rôle de maladroite Bella ; le rôle parfait.
Comme je le disais, tout cela semblait assez simple.
Et donc nous nous sommes rencontrées, une belle
journée ensoleillée au Casita del Campo, un restaurant mexicain sombre et presque vide pas très loin de la maison de Los Feliz qu’elle partageait avec Pattinson. Une petite mais intense présence,
vêtu d’un jean slim gris délavé, elle ressemblait à une petite poupée quand
elle s’est glissée sur le banc. Elle avait personnellement choisi le
lieu : a) Parce qu’il n’y aurait pas de « cafards » (son surnom
pour les paparazzis) tapis dans les buissons et b) parce que, étant une fille
cool de Silver Lake, elle adore la nourriture mexicaine. « Je ne sais même pas pourquoi je
regarde le menu, » elle soupire alors qu’elle trempe une chips dans la
sauce salsa. « J’ai déjà déjeuné».
Avec sa réputation d’être audacieuse (toute cette insistance
à porter des baskets sur les tapis rouges), je m’attendais presque que cette
réunion soit une lutte du journalisme, mais, en fait, elle s’est avérée être de
très bonne compagnie : intéressante, intéressée, articulée, drôle, simple.
Elle parle prudemment, avec précision ; une fille de la Vallée, c’est sûr,
avec tout les « mec» et « genre», mais une fille de la Vallée
articulée et mesurée. Elle était particulièrement drôle et affectueuse à propos
de son enfance dans la Vallée de San Francisco : comment sa mère, Jules,
une scénariste/artiste, a le bras tatoué et un chien à moitié loup ;
comment elle a décoré presque tout les plafonds avec l’une de ses peintures Alice au Pays des Merveilles ;
et comment Kristen et son frère Cameron rentraient de la maison et il y avait
peut-être Jules en train de refaire la salle de bains parce qu’elle s’ennuyait.
Elle plaisanta sur son père, John, un metteur en scène aux cheveux longs, qui a
développé un amour pour la mode et « commençait à ressembler à Karl
Lagerfeld. Il me demande de lui ramener un sac à main pour homme Balenciaga et
je ne cesse de dire : Papa, absolument pas ! ».
Et elle était la plus ouverte à propos de Sur la Route,
dont une copie décorée le tableau de bord de sa première voiture quand elle
avait 16 ans. Nous avons parlé la façon dont le rôle a été un grand changement
de tout ce qu’elle avait fait précédemment. D’une part, la nudité en abondance.
Dans une scène, elle, Sam Riley et Garett Hedlund(qui jouent respectivement
Kerouac et Cassady) essayent une partie à trois. Dans une autre, elles les
masturbent en même temps. Mais Stewart était prête à faire tout ça.
« Walter nous a rendus confiant », dit-elle avec vivacité, mais
maladroite dans désir de se faire comprendre. « Il nous a complètement
apprêté pour être en mesure de faire les choses. Nous avions tellement pensé à
tout cela qu’au moment où nous sommes allés sur le plateau, l’histoire s’est
faite à travers nous. Comme si que nous étions des vaisseaux. D’une certaine
manière je ne peux pas être remerciée pour tout ça »
Walter Salles a dit par email : « J’ai rencontré
Kristen à Los Angeles. Elle connait Sur la Route sur le bout des doigts et
comprend le personnage mieux que personne que j’ai rencontré jusqu’à
aujourd’hui. LuAnne avait des décennies d’avance sur son époque. Elle était un
esprit-libre, une jeune femme qui ne vous jugeait pas… Mais cela devait être
sûrement difficile d’être dans sa position à la fin des années 40 début des
années 50, un défi constant. Kristen a compris cette dualité, que les moments exaltants
ont eut des répercussions douloureuses. »
Pour certains dont la réputation est tellement je m’en fous,
Stewart a tenu à dire qu’elle ne s’était jamais vu comme une rebelle. Elle se
décrit comme le genre d’enfant qui a des crises d’angoisses au sujet de ses
notes à l’école et une adulte qui « réfléchit toujours trop… Comment
faites-vous pour ne penser à rien ? » C’était, c’est ce qu’elle en a
tiré, sans doute pourquoi elle a trouvé la période de la Génération Beat
tellement séduisante. « Qu’est ce que j’y connais, mais je pense que c’est
pourquoi le livre sera toujours pertinent. Il y aura toujours ce nombre de
personnes qui veulent les choses différemment de la façon standard. Ce n’est
pas nécessairement une chose rebelle, c’est juste ce qu’ils sont. Ce monde à
cette époque, il semble plus libre pour moi que tout ce que je pourrais jamais
toucher et je suis totalement nostalgique, bien que je n’étais pas encore
née… »
« C’est l’aspect loyal de tout ça, » reprend t-elle avec sa voix basse et sérieuse. « J’adore être sur la périphérie d’un groupe d’un groupe de personnes qui ont les mêmes valeurs que moi. Les personnes qui ne prennent pas de plaisir à être célèbre, qui aiment juste le processus de fabrication d’un film et prospère là-dessus, peu importe les autres ».
Quand j’ai mentionné ses prochaines noces avec Pattinson
(comme cela avait été reporté cette semaine dans les magazines people, ainsi
que des dessins pour le gâteau, la robe et des détails que Katy Perry devait
être demoiselle d’honneur), elle se contente juste de hausser ses épaules de
poupée avec une certaine résignation d’une longue spéculation et soupire.
« Hey, ils sont tous complètement dingues. Ça change tous les jours. Tout
ce, est ce que je suis à la mode ? Ou pas ? Il n’y a jamais une
constante. Bien sûr, c’est séduisant et important ce que les gens pensent de
vous mais vous ne devez pas y accorder de l’importance. Ils peuvent dire ce
qu’ils pensent… »
Effectivement, ils disent ce qu’ils veulent. Et parfois,
vous devez y prêter attention. Un mois plus tard, les mêmes magazines qui
avaient décrit son 'mariage' dans de tels détails ont publié des
photos d’elle enlaçant non pas Pattinson mais un autre homme, Rupert Sanders,
le réalisateur britannique de Blanche-Neige et le Chasseur, dans lequel a joué
Stewart. Sanders est marié au mannequin Liberty Ross, qui joue la mère
biologique dans le même film, et il est de 21 ans son aîné.
Un milliard de cœurs de Twi-hards ont convulsé de
douleur. Le fantasme 'Robsten' ? Brisé ? Durant cette nuit,
elle a reçu des menaces de mort, cloué au pilori comme la briseuse de ménage la
plus détestée à Hollywood. Les débats ont fait rage à propos de la durée de
leur relation. Puis vient les excuses de Stewart presque invraisemblable :
« Je suis terriblement désolé pour la douleur et la gêne que j’ai causé à
ceux qui me sont proches et tout ceux que cela a affecté. Cette indiscrétion
momentanée a mis en péril la chose la plus importante dans ma vie, la personne
que j’aime et respecte le plus : Rob. Je l’aime, je l’aime, je suis
tellement désolée. » Les excuses
encore plus contrites de Sanders ont suivi peu après.
La vérité de tout cela ? Depuis, j’ai réécouté mes
cassettes et revu mes notes pour glaner des indices sur ce qui aurait pu
arriver et j’ai trouvé quelques preuves.
« Vous savez quand votre tension augmente et que vous
êtes impatient et que vous cherchez littéralement votre cœur, » Stewart a
dit à un moment lors d’un déjeuner ce jour, tout en décrivant la vie en
général. « C’est la raison pour laquelle je voulais faire Blanche-Neige.
Physiquement, je sentais que c’était la bonne chose à faire. » Et
travailler avec le réalisateur britannique Rupert Sanders ?
« Oh mon Dieu ! » avait-elle dit « c’est à mourir. »
Sanders était tout aussi expansif à son sujet, prenant du
temps pour me parler depuis ses vacances à Hawaii. « Elle avait brûlé la
zone inférieure de son bassin, vraiment en bas, » a-t-il dit de sa
première impression sur l’actrice. « Elle avait soigné une mauvaise
brûlure à cet endroit, dans ses jeans très serré, avec une Camel coincée entre
ses dents. Ceci a été ma première image d’elle. Elle a ce côté masculin. Elle
ce magnifique garçon manqué ou quelque chose du genre. Ce qui m’a le plus
surpris quand j’ai rencontré Kristen «était à quel point elle est différente de
son personnage Bella Swan dans la réalité. » ajoute t-il. « Elle
était si difficile, tellement réfléchi. Elle était exactement la version
moderne, dure à cuire de Blanche-Neige que je recherchais. Je voulais cette
guerrière jeune, fougueuse et rebelle, et elle incarne tout cela. »
« Elle et Liberty n’ont pas eu beaucoup de scènes
ensemble. », dit-il quand je lui ai demandé si sa femme et elle étaient
amies ou non. « De sorte qu’elles n’ont pas pu apprendre à se connaitre.
Mais elles ont certainement des similitudes. Il y a un aspect qu’elles
partagent. Kristen est comme de la royauté dans la façon de comprendre ce qu’elle
a à faire, dans la manière qu’elle a appris à compartimenter… Eh bien Lib l’est
aussi ou quelque chose comme ça. »
Monarchie, royauté, guerrière fougueuse. Stewart est une
guerrière dans un certain sens. Mais un guerrier, comme l’a dit une fois
Sanders, avec le poids du monde sur ses épaules. Elle a ce côté rock’n’roll
aussi, joué à la perfection dans son rôle de Joan Jett dans The Runaways. J’ai
toujours l’image en tête d’elle au Vogue Show, demandant une vodka avant de
demander du vin blanc « parce que c’est encore le matin ».
Mais voici la chose, avoir 22 ans et supposé avoir cet
incroyable manteau lourd de célébrité et tout ce cela implique… Ne pourrait-on
pas lui accorder une erreur humaine ? Ne pourrait-elle pas avoir le droit
de faire des erreurs alors qu’elle prend un chemin différent après le monde
Twilight, une partie de sa vie qu’elle a assimilée à être absente de l’école (elle
et son frère étaient pour la plupart instruits à la maison).
« Je ne peux pas être un esprit libre, » a-t-elle
dit, presque suppliant, à un moment de notre premier rencontre. « Pas d’une
façon normale de toute manière. Je ne peux même pas faire mes propres courses,
ni marcher dans un centre commercial. Comment pourrais-je l’être ? Mais,
en même temps, il y a toujours d’autres manières d’explorer ma liberté. Mon
pays est définitivement plus petit que ce qu’était Sur la Route, mais cela ne
veut pas dire que l’esprit ne s’en ira. »
La deuxième et dernière fois que nous nous sommes
rencontrées, Stewart et moi étions en train de fumer une cigarette sur les
marches de L’Hotel Particulier à Montmartre, où un dîner était tenu en l’honneur
d’elle et de Nicholas Ghesquière. C’était une semaine après notre première
rencontre et elle était étonnamment sympa et bavarde plus que jamais. En tant
que nouvelle égérie du nouveau parfum de Balenciaga, Florabotanica, Stewart
était bien habillée, dans une robe corset de soie bleu layette de la dernière
collection et de hautes bottines en cuir. Plus tôt Ghesquière m’avait dit à
quel point il adorait sa capacité à renverser la tradition du tapis rouge ;
il adorait le fait qu’elle soit un tel symbole « de jeunesse ombrageuse »
et quel plaisir c’était de collaborer avec elle sur différents looks.
Stewart venait juste de rentrer de Sidney avec Sanders et sa
co-star de Blanche-Neige et le Chasseur, Chris Hemsworth, sa dernière étape de
la tournée promotionnelle du film. Elle semblait être un tout petit peu
fatiguée (ses légères cernes étaient un peu plus prononcées et elle semblait
presque gênée par ses plus beaux atouts), mais –avec cette cigarette placée
derrière elle, comme si elle était derrière un abri à vélos, et un verre à la main
- elle était en pleine forme. Avec le recul, peut-être un petit peu trop.
« Mon Dieu, je suis tellement amoureuse de mon
petit copain, » confie t-elle tout à coup, serrant ses poings et se raidissant d’impatience. « J’aimerais
qu’il soit là maintenant. Je pense que je veux avoir ses bébés. »
L’avais-je bien entendu ? Son 'petit copain' n’était
pas la seule chose dont elle ne parlait jamais ? A personne ? Et
pourtant, nous y voilà. « Mon Dieu, il me manque, » dit-elle en
rejettant ses cheveux en arrière et exhalant un nuage de fumée. « J’adore
son odeur. Et lui la mienne. Genre, il adore lécher sous mes aisselles. Je ne
comprends pas cette obsession d’enlever l’odeur. Cette odeur de quelqu’un que
vous aimez. Vous ne pensez pas que c’est le but ? »
En y repensant, l’échange parait toujours surréaliste. Il a
eu lieu à peine trois semaines avant ces photos compromettantes ne soient
prises. Est qu’au moins elle parlait de Pattinson ? Me faisait-elle une
blague ? Qui sait ?
Je repense à ce qu’elle a dit dans ce restaurant fou, de
vouloir être sa propre personne et ne pas à avoir à se conformer aux attentes.
« Hum, comment pourrais je le formuler ? »
dit-elle, se concentrant tellement sur ce qu’elle veut dire que son genou se
mit à bouger. « Regardez. Je sais que si vous n’avez pas pensé à la façon
dont vous voulez présenter une idée de vous façonnée alors cela peut sembler être un manque d’ambition de
votre part. Mais, mec, honnêtement ? Je ne peux pas. Les gens s’attendent
à ce que ça soit facile parce que vous êtes là, à faire la chose que vous
voulez et se faire pas mal d’argent dessus. Mais, vous savez, je ne suis pas si
lisse. Je peux devenir maladroite autour de certaines personnes. Par exemple si
je devais m’asseoir et réfléchir, ‘OK, je suis vraiment célèbre, comment
vais-je me conduire en public ?’ Je ne saurais pas qui cette personne
serait ! Cela serait beaucoup plus facile si je le pouvais, mais je ne
peux pas. »
Au moment d’aller à l’impression, l’histoire ne fait que
changer et les attentes des gens changent tous les jours. L’avant première de
Breaking Dawn (le dernier volet de Twilight) et son cortège de participants
sont encore à être annoncés. Il est dit que Pattinson aurait déménagé de la
maison de Los Feliz parmis les potins sur la garde du chien du couple, Bear.
Sanders, annoncé pour faire un autre Blanche Neige avec Stewart, doit encore
confirmer ses plans. Il n’a pas enlevé son alliance.
Travailleuse judicieuse, Stewart a remporté le rôle de
Peyton Loftis – dans le film de Willian Styron et du roman de 1951 Lie Down in
Darkness – celui qu’elle a censé, à tort, piqué à Jennifer Lawrence. Ensuite il
y a Cali sur lequel elle est, pour la première fois, dans la production. Professionnellement
parlant, un cynique pourrait se demander, le bazar actuel jouerait-il en sa
faveur ?
Encore une fois, qui sait ? Une chose cependant, est
que Stewart ne m’est pas apparue comme une personne mauvaise. Pas du tout.
Juste une jeune femme attrayante et intelligente essayant de faire son chemin à
travers les âneries. Alors laissez là un peu tranquille, d’accord ?
Retranscription de l'article par: robandkristen
Nan mais c'est des bêtises cette article ?! 0_o
RépondreSupprimerOn se demande effectivement... C'est très louche, elle a pu dire ça, mais de manière ironique mais à l'écris ils font passer ça pour du sérieux --' *
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