lundi 21 mai 2012

Extrait de la conférence de presse en Angleterre pour SWATH


Traduction faite par le staff de Kstew France. Merci de créditer avec un LIEN

GlamourUK : Q: Kristen, qu'est-ce qui vous a attiré dans le rôle de Blanche-Neige - un rôle emblématique - en premier lieu ?
Kristen Stewart : Je voulais toujours trouver quelque chose où je pouvais vraiment me mettre au défi physiquement, j'ai vraiment aimé ça... Charlize est vraiment comme moi, on s'est vraiment défoncer pour ce travail. J'aime cette opportunité. Mais ce que j'ai vraiment creusé pour ça c'était qu'il y avait quelqu'un qui est enthousiaste et en tant que membre du public vous prenez beaucoup de plaisir à regarder une dure à cuire. Mais elle n'est pas un mec, elle reste en partie constante, nous ne sommes pas construit pour être fort physiquement - il s'agit du fait que vous devez être plus intelligent que quelqu'un, vous devez être plus rapide..
Charlize Theron : Je suis un homme avec des talons, au fond...
KS : Je déteste les films aux filles puissantes où les gens pour que vous encouragez ne sont pas des filles, et c'était pour ça que le film m'a vraiment attiré.

Q : Maintenant Chris, vous êtes connus pour vos films d'actions et vous avez troqué le marteau de Thor pour une hache cette fois - parlons de vos séquences d'actions. Est-ce que vous vous êtes cassé une dent ?
Chris Hemsworth : Euh, non - j'ai eu mon nez cassé, à cause de Kristen en fait. C'est la première fois que l'on se voit depuis ça et je préfère qu'elle soit assis au bout de la table. Initialement, je trouvais que le film était un peu trop similaire à ce que j'avais fait avant - les combats et le monde basé sur de la fantaisie - mais j'ai vite réalisé qu'avec la vision de Rupert et cette équipe, le script était complétement différent d'un conte de fée - plus noir, plus incisif, gothique, ou presque. Et ça n'arrêtait pas de me faire me poser des questions, et je pense que c'est ce qu'il fait avec le public aussi.

Q : A propos du coup de poing dans le visage, c'était dans une scène ou c'était une bagarre à la cantine ?
CH : On voulait le même muffin.

Q : Charlize, vous avez tourner le film ici en Angleterre. Est-ce que c'était le fait de travailler avec nous, les Britanniques, qui vous a attiré dans le projet ?
CT : C'était probablement la seule chose négative à propos du film. Non, en fait, je vis ici depuis l'année dernière - j'ai fait deux films à la suite et j'ai vraiment aimé ça, c'était chouette, à part pour la partie qu'on ne tourne pas vraiment dans la ville et que l'on conduit une heure pour aller aux Studios Pinewood tous les jours...

Glamour.com :  Kristen, vous avez déjà évoqué le fait que Blanche-Neige est une guerrière, qu'elle est vraiment résistante mais qu'elle a un peu ce côté vulnérable. Quel côté préférez-vous jouer et quel côté vous touche le plus ?
KS : C'est une question difficile parce que... rien n'est aussi simple. Chaque fois que Blanche-Neige doit se lever et faire quelque chose d'actif, et ne pas être paralysé par la peur et se transformer en cette chose de vraiment prête - je veux dire, je suis pour ça. Comme j'ai dit, une des choses que je voulais faire c'était de voir jusqu'où je pouvais le pousser. La raison pour laquelle ils embauchent ces grands, énormes mec [pour les rôles d'actions] c'est parce que c'est dur...
CT : Arrête de parler de moi Kristen !
Sam Claflin : C'était pour ça que j'ai eu le travail ? La première chose qu'il a dit c'était "Sam, va à la gym".
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Q : Charlize, tout d'abord, comment avez-vous abordé le personnage pour avoir la bonne tonalité quand ça aurait pu être facilement plus au dessus ? Et que pensez-vous à propos du fait que le réalisateur vous décrit comme "Margaret Thatcher qui rencontre Kate Moss" ?
CT : Je vais travailler à l'envers - j'aime ça et je voudrais que à partir de maintenant vous me décrivez comme ça pour toujours. Vous savez, je pense que - eh bien, vous devez faire confiance à votre réalisateur parce que, à la fin de la journée, cette tonalité est vraiment ce que le cinéaste veut faire et comment il veut former ce personnage. Les premières réunions pour moi, c'était généralement pour essayer de comprendre le film que le réalisateur essaie de faire et si je peux faire ça. Je ne sais pas comment travailler en n'ayant pas les bases de quelque chose qui est basé sur la réalité. J'ai besoin de ça comme une ancre et je pense que si vous avez ça comme ancre, vous pouvez voir grand et aller fort, parce que vous aurez toujours ça, les bases sont toujours là et je pense qu'il définit les choses. Je pense que quand vous n'avez pas - si vous n'avez pas mis en place les circonstances, si quelqu'un ne vous avez pas expliquer pourquoi votre personnage est comme il est, alors vous allez droit vers les ennuis, où l'on peut presque se sentir un peu mécanique.

Q : Il y a beaucoup de tension sexuelle dans ce film, mais il y a seulement deux baisers - l'un d'eux est mort et l'autre est faux. C'était l'idée de laisser le public avec envie de savoir plus ?
CT : En fait, on s'est tous embrassé... donc quand Chris l'embrasse, j'embrassais Kristen sur la bouche !
SC : Oui, c'était le plus beau jour de ma vie.
CT : Comment j'étais Kristen ?
KS : Euh...

Q : Chris - Vous avez un accent Irlandais tout au long du film - c'était difficile pour vous, étant donné que vous êtes Australien ?
CH : Ouais, ça l'était. On parle avec des sons différents et la plus grande chose étant que je voulais pas faire un Anglais à moitié Atlantique alors que c'était trop proche avec Thor et avec l'avantage que c'est un monde de fiction que c'était où il débarquait. C'est juste de l'enthousiasme et le sentiment de l'accent. JE trouve que c'est un peu comme les costume - vous le mettez et vous trouvez "ah, c'est quelque chose que je peux saisir" et j'ai adoré la musique du film, c'est vraiment terrestre et le son et l'accent, et c'était un homme des bois donc c'était convenable.
HS : Il n'est vraiment pas comme nous - si il était comme nous - ça nous a rendu plus conscient.

Q : Rupert, pourquoi Kristen était le choix parfait pour jouer Blanche-Neige ?
Rupert Sanders : J'ai regardé beaucoup d'acteurs, des inconnus et des connus, et quand on a rencontré Kristen, on a vu quelqu'un qui était dynamique, elle est un peu comme un cheval sauvage, difficile à maintenir vers le bas, et j'aime ça, vous savez ? Je pense que le personnage de Blanche-Neige ne pouvait pas être sage - elle avait besoin d'être quelqu'un de résistant. C'est une personne rare et c'est ce qui est si génial pour le fait qu'elle joue ce personnage, elle a cette folie en elle que je pense bonne pour le personnage.

Q : Quelle était la chose la plus effrayante à faire dans ce film ?
KS : Monter à cheval. La dynamique entre le cheval et le cavalier n'est vraiment pas pour moi. Ne pas mettre la selle sur lui, le mettre dans un pré, je veux le regarder courir - je vais courir avec lui ! Mais c'est cool de voir les gens véritablement mal à l'aise sur l'écran?
CH : J'estime que la chose la plus inconfortable avec les scènes d'équitation - c'était une scène où on devait avoir les caméras très proche de Kristen sur le cheval et c'était le premier jour de tournage, donc pour pouvoir faire ça, ils avaient un cheval mécanique et on est tous arrivé sur le plateau et tout les cavaliers espagnol et des cavaliers avaient été introduit, donc c'était très professionnel, et voici les acteurs, voyons-voir ce que vous avez, et je suis marié à une espagnole, et vous savez, pourquoi que la mérité, et donc je suis entré et j'ai dis "où est le cheval ?" et c'était ça, la moitié d'un cheval mécanique, et ensuite on avait ce truc, qui faisait ça [se balance en avant et en arrière] et vous ne pouvez pas vous sentir plus ridicule. C'était une partie effrayante. Cela a blessé ma fierté !

Q : Charlize, le fait d'être une maman a-t-il affecter la façon dont vous travaillez et les rôles que vous choisissez ? Et organisez-vous une fête pour le bébé de Chris bientôt ?
CT : Pourquoi est-ce mon boulot ? Oui, je t'enverrais tout les vêtements fait mains de petit garçon...
CH : ... Et je t'enverrais tout mes vêtements de petite fille...
CT : Je ne sais pas. Je me suis dit "Oh, je ne vais probablement pas vouloir faire ce film" quand j'ai su que mon fils allait venir dans ma vie, vous savez, quand tout ce que je voudrais faire c'est me morfondre dans mes pyjamas et être sur le tapis avec lui. Et on a fait ça pendant quelque mois et c'était génial. Ensuite, le truc fou qui s'est passé que je ne m'attendais pas c'était que je me suis sentie très créative, vraiment vraiment créative et j'ai commencé à développer des films fou et à vendre et travailler d'avantage avec ma société de production. Je pense que ce petit bébé innocent me rend plus curieuse à propos de la condition humaine.

Q : Chris, à l'exception du nez - vous avez eu d'autres blessures ?
CH : C'était plus épuisant que tout ce que j'ai fais avant parce qu'on savez ce qu'il y avait sur l'écran vert, le contrôle de la température et au niveau du son... Sam et moi, à un moment - c'était juste une scène à cheval. Et quand vous êtes dessus et qu'il y a des centaines derrière fou et que vous devez sauter du cheval à la dernière seconde et foncer. On ne l'a pas répété et ACTION ! Et ensuite, on part et Sam est un peu en face de moi et je me souviens avoir vu son pied se prendre dans l'étrier comme il a essayé de sauter et il...
SC : J'avais une armure complète, d'accord ? ... Je me souviens juste qu'après mettre pris le sol en pleine face, entendre Rupert dire "CONTINUE !" et j'étais genre "Je ne peux pas me lever !" et Chris a essayé d'aider et honnêtement c'était un sketch comique.
KS : Et s'il avait levé le bras, même au dessus de ses épaules, il allait de frapper le côté de sa tête.
SC : Honnêtement, la comédie en or.

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