A l'occasion de la promotion de Seberg lors du Festival du Film de Venise 2019, Kristen et le réalisateur Benedict Andrews parlent du film et du personnage de Jean Seberg dans une interview avec Radio Italia.
Traduction faite par le staff de KStew France. Merci de nous créditer avec LIEN si vous la reprenez ailleurs
Journaliste masculin : Nous sommes avec la distribution de Seberg. Bonjour à tous.
Journaliste féminine : J’ai une question pour le réalisateur. Qu’est-ce qui vous fascinez le plus à propre de Jean Seberg ?
Benedict Andrews : J’étais fasciné par son ouverture d’esprit. Elle était extrêmement ouverte ; on peut le voir dans ses films. Ces films qui ont changé l’histoire du cinéma, comme A Bout De Souffle. Sa performance est tellement incandescente, libre et vraie. Je pense que ça a changé notre vision de ce qu’on voulait voir à l’écran, ce que le cinéma moderne allait devenir. J’étais fasciné par cette femme, que la plupart des gens ne connaissent pas, était en fait une activiste politique. Et le FBI l’a surveillée puis ils ont détruit sa vie à cause de sa vision politique. J’étais fasciné par son ouverture d’esprit qui l’a conduite dans la politique, qui l'a conduite à aimer et qui l'a conduite artistiquement.
Journaliste masculin : Kristen et Anthony, avez-vous ressenti sa passion pour ce personnage durant le tournage ? Etes-vous devenus également fascinés par elle ?
Kristen Stewart : Oui, absolument. La première impression que j’avais de Jean, avant de me plonger dans cette histoire à travers Benedict, était l’image d’elle. C’est-à-dire la femme dans A Bout De Souffle. Rien que cela, elle était vraiment intrigante et sans complexe. C’était quelqu’un qui tenait profondément aux autres, on pouvait le ressentir dans chacun de ses mouvements. Tout ce qu’elle était physiquement vous criait de la regarder. Et le fait qu’elle a pu utiliser cela pour mettre en avant ses causes, c’était quelque chose d’incroyable. Cela lui était défavorable. Elle était tellement ouverte… qu’elle était aussi ouverte à des chemins traîtres … A de grands adversaires, qui ont finalement réussi à la détruire.
Journalistes : Merci beaucoup. Nous n’avons plus de temps.
Journaliste féminine : J’ai une question pour le réalisateur. Qu’est-ce qui vous fascinez le plus à propre de Jean Seberg ?
Benedict Andrews : J’étais fasciné par son ouverture d’esprit. Elle était extrêmement ouverte ; on peut le voir dans ses films. Ces films qui ont changé l’histoire du cinéma, comme A Bout De Souffle. Sa performance est tellement incandescente, libre et vraie. Je pense que ça a changé notre vision de ce qu’on voulait voir à l’écran, ce que le cinéma moderne allait devenir. J’étais fasciné par cette femme, que la plupart des gens ne connaissent pas, était en fait une activiste politique. Et le FBI l’a surveillée puis ils ont détruit sa vie à cause de sa vision politique. J’étais fasciné par son ouverture d’esprit qui l’a conduite dans la politique, qui l'a conduite à aimer et qui l'a conduite artistiquement.
Journaliste masculin : Kristen et Anthony, avez-vous ressenti sa passion pour ce personnage durant le tournage ? Etes-vous devenus également fascinés par elle ?
Kristen Stewart : Oui, absolument. La première impression que j’avais de Jean, avant de me plonger dans cette histoire à travers Benedict, était l’image d’elle. C’est-à-dire la femme dans A Bout De Souffle. Rien que cela, elle était vraiment intrigante et sans complexe. C’était quelqu’un qui tenait profondément aux autres, on pouvait le ressentir dans chacun de ses mouvements. Tout ce qu’elle était physiquement vous criait de la regarder. Et le fait qu’elle a pu utiliser cela pour mettre en avant ses causes, c’était quelque chose d’incroyable. Cela lui était défavorable. Elle était tellement ouverte… qu’elle était aussi ouverte à des chemins traîtres … A de grands adversaires, qui ont finalement réussi à la détruire.
Journalistes : Merci beaucoup. Nous n’avons plus de temps.
Source: RadioItalia
Video: KristenTeamKristenYT
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