Le site français L'express.Fr était présent au Festival de Sundance et parle du film Camp-X-Ray et de la prestation de Kristen.
Camp X Ray de Peter Sattler
On a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein cœur de leur actualité.
Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres.
Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps.
Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste.
Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie privée, tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
Translation in english (Kristen mention) ==>
Translation witth google traduction :
But the outstanding performance of all its actors prevents tearful and pessimistic drift.
And first and foremost, the striking of Kristen Stewart in the central female role. She confirmed after Welcome to the Rileys and The Runaways and waiting for the next Assayas, it is completely released from the Twilight label. And see who has found recently harassed by media vultures and without respect for his life riveted hold the central role of a controversial film about says a lot about his temperament. This commitment where there only to take shots is rare enough to be underlined.
Camp X Ray de Peter Sattler
On a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein coeur de leur actualité. Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres. Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps. Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste. Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie rivée tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/a-sundance-miles-teller-kristen-stewart-et-keira-knightley-en-vedette_1315217.html#V8zjSPUlfePvAuGD.99
Camp X Ray de Peter SattlerOn a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein coeur de leur actualité. Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres. Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps. Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste. Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie rivée tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/a-sundance-miles-teller-kristen-stewart-et-keira-knightley-en-vedette_1315217.html#V8zjSPUlfePvAuGD.99
On a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein coeur de leur actualité. Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres. Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps. Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste. Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie rivée tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/a-sundance-miles-teller-kristen-stewart-et-keira-knightley-en-vedette_1315217.html#V8zjSPUlfePvAuGD.99
Camp X Ray de Peter Sattler
On a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein coeur de leur actualité. Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres. Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps. Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste. Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie rivée tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/a-sundance-miles-teller-kristen-stewart-et-keira-knightley-en-vedette_1315217.html#V8zjSPUlfePvAuGD.99
On a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein coeur de leur actualité. Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres. Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps. Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste. Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie rivée tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/a-sundance-miles-teller-kristen-stewart-et-keira-knightley-en-vedette_1315217.html#V8zjSPUlfePvAuGD.99
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On a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein coeur de leur actualité. Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres. Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps. Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste. Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie rivée tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
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On a beau y être habitué, on reste cependant toujours épaté par la capacité du cinéma américain à s'emparer de sujets politiques brûlants en plein coeur de leur actualité. Tel est le cas de ce Camp X Ray dont l'action se situe à l'intérieur du camp de Guantanamo, cancer qui gangrène les valeurs démocratiques américaines pour les uns, mal nécessaire afin d'éradiquer le terrorisme pour les autres. Ce Guantanamo ouvert par Bush et qu'Obama avait promis de fermer... Ce Guantanamo que Sattler raconte au quotidien à travers les militaires chargés de la surveillance des détenus. Et tout particulièrement l'une d'elles qui va se lier d'amitié avec l'un d'eux, enfreignant la règle de la logique de guerre entre les deux camps. Sattler a un mérite : celui de ne pas raisonner en mode binaire et manichéen dans son portrait des militaires, comme dans sa description des prisonniers. Mais cette recherche d'équilibre permanent et cette volonté un peu trop marquée d'afficher le symbole d'une réconciliation possible à travers ces deux cas individuels finissent cependant par enfermer son récit dans un discours un brin scolaire. Mais l'interprétation remarquable de l'ensemble de ses comédiens empêche toute dérive larmoyante et misérabiliste. Et en tout premier lieu, celle saisissante de Kristen Stewart dans le rôle féminin central. Elle confirme après Welcome to the Rileys ou The Runaways et en attendant le prochain Assayas, qu'elle s'est totalement libérée de l'étiquette Twilight. Et voir celle qui s'est retrouvée récemment harcelée par des media charognards et sans respect pour sa vie rivée tenir le rôle central d'un film au sujet aussi controversé en dit long sur son tempérament. Cet engagement là où il n'y a que des coups à prendre est suffisamment rare pour être souligné.
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/cinema/a-sundance-miles-teller-kristen-stewart-et-keira-knightley-en-vedette_1315217.html#V8zjSPUlfePvAuGD.99
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