Lors de leur passage en Australie pour la promotion de Blanche Neige et le Chasseur, Kristen et Rupert Sanders ont rencontré le journal The Sydney Morning Herald pour une interview.
Traduction faite par le staff de Kstew France. Merci de créditer avec un LIEN
'Elle a été
emprisonnée par Twilight et c'est son évasion', dit Rupert
Sanders, le réalisateur britannique fait son premier long métrage
avec Blanche Neige et le Chasseur. 'Kristen est très
talentueuse et elle a une énorme carrière devant elle dans laquelle
va constamment surprendre les gens'.
Comme
l'une des rares actrices à succès qui font la transition sans accroc
dans des rôles d'adultes, Stewart se sent comme
familière dans le paysage bien qu'elle est seulement 22 ans. Elle
avait à peine 17 ans lorsqu'elle a été castée comme Bella Swan,
la jeune adolescente chaste qui tombe du vampire sombre de Robert
Pattinson dans Twilight
en 2008. cette franchise surmenée s'achève enfin en novembre, et il
semble que même si elle est reconnaissante pour l'exposition,
Stewart est prête pour la prochaine phase de sa carrière.
'Je n'essaie par de m'éloigner de Twilight, mais il y a plusieurs films sortant cette année qui vont amplifier le sens du changement', dit Stewart. J'ai fait des choses qui sont éloignées de tout ce que je pouvais imaginer, et maintenant je suis débordée par les émotions et les questions'.
'Notre point de vue
sur l'idée d'un conte de fées est très élémentaire',
dit Sanders, un diplômé des publicités télévisées, qui a fait
le film sur un calendrier douloureusement serré pour respecter la
date de sortie prédéfinie par le studio. 'Mais
le fait que nous ayons deux femmes fortes jouant des rôles masculins
est très moderne, et cela fait partie de ce qui m'a excité'.
'Je
pense que la raison pour laquelle l'histoire n'a jamais été aussi
pertinente, c'est que c'est tellement fondamental : il faut
avoir du cœur',
dit Stewart. 'J'ai rencontré tellement de gens
qui sont devenus si laids, des gens que je trouvais vraiment beaux,
parce qu'ils ne viennent de nulle part en dehors de l'aspect purement
superficiel. Ce qu'ils font ne fonctionnent pas et ça ne vous fait
pas avancer. Les femmes peuvent voir ça, et ils peuvent le sentir'.
'Parfois, vous avez
des qualités que nous ne vous connaissez pas jusqu'à ce que vous
rencontriez quelqu'un, or lisez quelque chose, ou entendez une
histoire et vous réalisez, 'wow c'est effrayant et ça me parle, je
devrais faire ça'',
dit Stewart. 'Rupert a présenté un monde que je
voulais vivre et donc je croyais en la cause'.
'J'aime les gros
plans',
dit-elle. 'Je n'ai jamais fait de théâtre et
bien que j'ai commencé à un jeune âge, je n'ai jamais l'enfant en
plein milieu de la pièce. Je n'ai jamais été une artiste.
Lorsqu'il y une caméra sur mon visage, il n'y a simplement pas de
retour en arrière, il n'y a pas d'excuse. Il vaut mieux pour moi car
dès que vous retirez la caméra, il y une centaine de murs derrière
lesquels je peux aller. Avec un gros plan, je ne peux me cacher'.
Source: kstewartnews Via: TheSydneyMorningHerald
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