dimanche 27 mai 2012

Kristen, Garrett et Sam parle de Cannes et d'OTR aux LA times



Traduction faite par le staff de Kstew France. Merci de créditer avec un LIEN




Les exploits de Jack Kerouac et Neal Cassady ont d'abord été décrits dans Sur la Route, un roman autobiographique de Kerouac avec des alter égo, Sal Paradise et Dean Moriarty, il y a plus d'un demi siècle. 

Mais les stars de la toute première adaptation cinématographique déclarent qu'il pensent que la Bible de la Beat résonne plus que jamais, et qu'elle parcourait leurs vies de façon inattendue
'Je l'ai lu à 14 ou 15 ans et j'ai été touchée. J'ai dit, j'ai besoin de trouver des gens qui me poussent comme ça. Je veux trouver des gens dans ma vie après lesquels je veux courir'', dit Stewart qui joue aux côtés de Garrett Hedlund (Moriarty) et Sam Riley (Paradise), dans une interview avec 24 Frames.
 Kristen Stewart joue la femme intelligente et libre d'esprit de Moriarty, dans le film, dont la première était mercredi soir au Festival du Film à Cannes dans l'un des plus jeune galas de la Croisette. (L'actrice de Twilight était dans une voiture de collection et a posé avec ses partenaires Viggo Mortensen et Kirsten Dunst ainsi que Hedlund et Riley, tandis qu'à l'extérieur des milliers de fans faisaient la queue pour avoir un aperçu).

Sur le toit d'un restaurant jeudi matin, Kristen Stewart profitait toujours de tout ça. Vêtue d'un haut en cuir sans manche, l'actrice pensait que ce rôle était peut-être l'un des plus prestigieux à ce jour, ainsi que son premier voyage à Cannes assez chaotique. "Je suis une personne plutôt nerveuse mais pour je ne sais quelle raison je me sens bien ici" dit-elle.

Hedlund, avant ce voyage, n'est jamais venu en France. En fumant une cigarette aux côtés de Stewart et Riley, l'homme de 27 ans a dit qu'il a été également touché par Kerouac, notant qu'il fait échos à travers les générations parce que les sentiments qu'il capture n'ont pas changé. 

"A vos vingt ans, vous êtes au passge où vous pouvez faire quelque chose et vous avez des années pour le faire" dit l'acteur. "Ensuite, la vie vous frappe avant que vous vous en rendiez compte". 

Le réalisateur Walter Salles a passé près d'une décennie à développer roman de Kerouac, dont les droits ont été obtenus par la famille de Francis Ford Coppola depuis trois décennies. (Le fils de Coppola qui produit le roman, après une série d'arrêts et de départs, s'est souvent demandé si le film serait fait). 

Le film gonfle le personnage de Kristen Stewart mais prend généralement la même forme libre et l'approche épisodique de Kerouac a pris sur la page, un ensemble de scènes destinés à démêler un temps autant qu'une histoire. Le film sortira juste avant Noël (peu de temps après Breaking Dawn partie 2) quand il pourrait permette à ses stars d'avoir de l'attention pour des récompenses qu'ils n'ont jamais eu avant. 

Kristen Stewart a reconnu que Sur la Route lui a donné envie de travailler sur d'autres films d'histoires vécues. (Elle a déjà joué Joan Jett dans la biopic de la femme rockeuse The Runaways).

"Vous vous demandez encore beaucoup sur le pourquoi" dit-elle d'un conte réel. "Et on a une telle responsabilité affective avec ces personnes. Ils sont devenus notre famille, qui est conduite bien plus encore". 

Elle a dit qu'en incarnant Marylou, qui est souvent dévêtue de différentes façons, "je veux trouver la personne derrière le personnage, et non pas la voie facile de simplement jouer le personnage d'une jeune fille qui aime avoir beaucoup de relations sexuelles". 

Riley, qui joue le chanteur de Joy Division Ian Curtis, dans la biopic Control, a dit qu'il espérait continuer à prendre des rôles plus sérieux, mais "ça dépend beaucoup de ce qui vous touche parmi la pile de merde qui vous est envoyé".

En ce qui concerne Hedlund, qui est plus connu dans le rôle du héro dans Tron, il y a 2 ans, la perspective d'un recours à une œuvre littéraire à cause de ce qu'elle permet de faire avant que la caméra ne commence à tourner. 

"Etre impliqué dans ce projet, il y a eu comme une éthique de travail que nous avons tous eu, un tel investissement pour représenter ces personnages. Un grand nombre de stress auto-imposés, vraiment", a-t-il dit, notant que le retard de production a permis une quantité inhabituelle de préparations lorsqu'il a rencontré les icônes de la Beat et des personnalités et de lire d'innombrables livres. "Je sollicite ce genre de charge de travail pour chaque projet que je fais".

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