lundi 16 avril 2012

SWATH dans Filmink et Empire magazine ( new photo BTS) + Interview



Empire magazine:

Filmink Magazine:




Traduction faite par le staff de Kstew France merci de créditer AVEC lien

Il était une fois

Avec l’épic Blanche-Neige et le Chasseur, le directeur Rupert Sanders, le producteur Sam Mercer et les acteurs Kristen Stewart et Chris Hemsworth, refont le conte d’un conte de fées classique pour une nouvelle génération.

C’est un jour glacé de décembre quand FilmInk arrive aux studios Pinewood. C’est le 76ème jour de tournage pour Blanche-Neige et le Chasseur une réinvention du conte de fées classique toute en action et il ne risque plus qu’une semaine avant que la production ne soit finie. Dans les fondements du château de la Reine Ravenna , le carrelage est tiré vers le bas à partir du plafond. Sur le sol il y a des laitues moisies, à côté de pièces brisées de polystyrène et de plâtre. La fin est vraiment proche. « Je n’avais jamais pensé que j’y arriverais », commente le directeur du film anglais, Rupert Sanders. « Mais voilà où nous en sommes. J’ai presque terminé. »

Les espoirs sont placés haut pour ce qui est du 2ème film Blanche-Neige de l’année, suivant la réinvention pleine de couleur de Tarsem Singh Mirror Mirror avec Lily Collins en tant que l’héroïne iconique. Et en jugeant par ce qui est montré ici –comme le cheval mort de taille réelle qui est actuellement allongé devant le portail du château de Ravenna. La version de Sanders des évènements est plus Grimm que Disney, avec l’accentuation ferme sur le lugubre. « Tout le monde fait une différente version de Hamlet » dit-il « Nous, nous le re-racontons. Comme ils le font sur la scène, on le modifie pour un autre public. »

Blanche-Neige et le Chasseur a certainement été modifié, on peut le voir rien que par la géante catapulte en bois pas très loin et les séries de gargouilles sur les murs de château, près à jeter de l’huile bouillante sur les envahisseurs. Ecrit par Evan Daugherty en 2003 pendant qu’il était encore étudiant –et assis en caleçon dans sa chambre étudiante, à ce qui parait- ce film Blanche-Neige n’est pas la délicate, la princesse en détresse à la peau de porcelaine du classique dessin animé de Disney de 1937. Elle est plutôt une guerrière habillée d’une armure qui apprend à se battre contre la méchante Reine, qui la veut morte. « Les temps ont changé, les gens ont développé différentes vies, et ils vivent dans différentes conditions. » dit le producteur Sam Mercer qui ne s’excuse pas de nous présenter avec cette version alternative du conte de fées. « Comme dans une société, nous aimons maintenant les personnages forts, et de forts modèles. » Alors qui de mieux pour jouer Blanche-Neige que Kristen Stewart ? La star de 21 ans a déjà joué sa juste part de personnage à la volonté de fer que ce soit Bella Swan dans Twilight, la rockeuse habillée de cuir Joan Jett dans The Runaways ou une la strip-teaseuse dans Welcome to The Rileys.

Quand FilmInk est entraîné à l’intérieur, sur la scène, Stewart est actuellement en train de tourner, elle est ligotée. Dans une antichambre, éclairé avec des bougies et inondé avec l’odeur de lampes à huile en train de brûler. Blanche-Neige est sur le dos faisant face à son Némésis.  S’élevant au dessus d’elle, la Reine Ravenna –joué par la statuesque Charlize Theron- qui a l’intention de la poignarder avec une dague. Plongeant la dague vers elle, la Reine hurle, « Par le sang le plus pur, c’est terminé.» -Seule chance pour Blanche-Neige de s’en sortir d’une manière ou d’une autre à la dernière seconde.

La prise est terminée, et pendant que l’équipe ré-éclaire la scène. Stewart nous rejoint pour discuter, ressemblant à la véritable guerrière dans sa côte de maille et son plastron. « J’essayais de me rappeler dans quel film il y a une femme en armure. » raconte t’elle. Jeanne d’Arc ? « Ouais ça, et Elizabeth je crois et c’est tout. » Avec la chance de montrer sa fougue, il n’est guère étonnant que Stewart a sauté sur l’occasion de jouer une telle réinvention de l’héroïne même si les rumeurs du début suggéré qu’elle n’était pas intéressée à prendre le rôle juste après avoir fini la franchise Twilight. « C’était l’idée perpétuelle par l’idée que je ne me voyais pas jouer la Blanche-Neige de Disney » dit-elle. « Mais nous sommes restés vrai de qui elle est, si vous lisez le conte de fées. Nous faisons une interprétation tout à fait vraie de qui elle est. » Qui est ? « Elle est un personnage qui a un vrai manque de vanité… je ne dis pas que tout le monde l’est, mais à un certain point vous vous rendez compte de vous-mêmes, et elle n’a pas ça en elle, ce qui est cool. Elle est du genre chétif. Elle est une combinaison étrange de traits de personnalités. Elle est flippante ! »

Stewart a également adoré la dualité que sa Blanche-Neige doit faire face. « C’est cool de jouer un personnage qui est capable de se dépasser elle-même et considérer les autres d’une façon presque surnaturelle mais en même temps qui sait qu’elle est humaine et qu’elle a ces luttes et qu’elle doit toujours se battre pour elle-même. Elle est juste le leader essentiel. Notre Blanche-Neige est la définition de ce qui fait un héro… beaucoup de nos héros sont des abrutis. Ils trouvent du plaisir quand ils blessent les gens. Elle n’est pas comme ça. Pourtant elle peut vraiment prendre soin d’elle-même et des autres. »

Avec Stewart signalant que le film n’est « pas prendre l’histoire pour la retourner sur elle-même », Blanche-Neige et le Chasseur suit de très près l’histoire des Frères Grimm –pendant un moment, du moins- comme le Chasseur (joué par la star de Thor, Chris Hemsworth) est instruit par la Reine d’emmener Blanche-Neige dans la forêt et de la tuer. Mais tout change quand il change d’allégeances et devient son protecteur, allant même jusqu’à lui apprendre à combattre avec une épée. Ensemble, ils rejoignent les forces pour entraîner la perte de la méchante Reine. « Il a une présence réconfortante », admet Stewart sur Hemsworth. « Je connais son genre. »

L’acteur Australien Chris Hemsworth pendant ce temps, n’était pas tout à fait au courant du conte de fées entier. « Quand ils m’ont dit pour la première fois à propos de SWATH, je pensais que Le Chasseur était dans Le Petit Chaperon Rouge, » plaisante l’acteur. « Je n’étais même pas familier avec ce personnage. Je connais Blanche-Neige mais je n’étais pas réveillé la nuit à lire ça ou Raiponce ou Cendrillon. Je les connaissais probablement par les dessins animés… tout le monde ne connait juste l’histoire. J’ai lu The Hobbit et Le Seigneur des Anneaux quand j’étais enfant. J’aimais cet élément fantaisiste. Aussi loin que va l’histoire de Blanche-Neige, il y a toujours eu une version graveleuse du vrai conte de fées que nous sommes en train de raconter, et puis la version plus propre de Disney. Ce qui m’a plus c’est que pendant que nous avions tous les personnages, nous étions beaucoup plus épiques dans le thème et dans l’importance.
Quand FilmInk demande à Rupert Sanders pourquoi il a choisi la star nait à Melbourne, il répond sans hésitation. « Chris est un incroyable et talentueux acteur, mais il a une grande présence à l’écran et une force, ce dont Le Chasseur a besoin. Mais aussi, il est facile à apprécier. Le Chasseur n’est pas un gentil au début du film. Il est un caïd. Il est le méchant garçon. Chris a l’habilité de le faire ressentir, sans que cela devienne sombre et dépressif. Il apporte de la légèreté. Le Chasseur a un passé intense qui le poursuit tout le long du film. »

Alors, qui est  ce mystérieux Chasseur ? « Je ne sais pas d’où il vient, » répond Hemsworth. « Dans ce film, il est une âme perdue. Au moment où on le rencontre dans le film, il y a un petit peu d’espoir dans ce qu’il se passe et il est la dernière personne vers laquelle se tourner pour avoir de l’espoir. Mais enfouit quelque part, il y a quelque chose que Blanche-Neige voit. Elle voit le bien en lui et elle le réveille. Il était un grand alcoolique mais il devient sobre et commence à vivre sa vie autrement. Elle est la lumière parmi l’obscurité. »
Quand on voit pour la première fois le Chasseur, il est en état d’ébriété et veux commencer une bagarre avec quelqu’un qui ne rentre pas dans sa catégorie. Dans quelle mesure cela résonne en Chris Hemsworth ? « Je choisis mes batailles avec un peu plus d’attention que lui » plaisant l’acteur. « Je ne suis pas un alcoolique, j’en suis sûr. Pour moi, c’est toujours une question difficile de dire si vous êtes similaire à votre personnage. Avec tous les personnages que vous jouez, vous pouvez ajouter quelques traits de votre personnalité. Vous devez plonger dedans. Pour moi, il y a un réel sens de l’humour pour le gars qui me plait. Dans tout le drame et l’obscurité, il trouve son amusement. J’ai tendance à repousser les choses plutôt que d’en parler. »

Bien que d’habitude il soit qu’un personnage de second plan dans les divers contes de Blanche-neige, le Chasseur est le résolu de l’action, le genre d e héros qui n’attend pas l’aide de quiconque. « J’ai une variété d’haches et de couteaux et on a du développer une technique de combat autour de ça, » répond Hemsworth. « On voulait que l’on fasse ressentir que le Chasseur avait voyagé autour du monde jusque dans son accent. On voulait le séparer des autres. On lui a donné un accent irelandais et ses cheveux sont mis en arrière avec un look qui montre une influence évidente de Samuraï, dont quelques un étaient familiers de Thor, mais la plupart était nouveau pour moi. On avançait jour par jour avec ces mouvements de sorte que ça fasse comme si que c’était fait pour arriver. » A propos de monter à cheval ? Est-ce que c’était naturel pour l’acteur ? « La seule fois où je monte à cheval, c’est pour un film, » répond Hemsworth.  « La dernière fois où j’ai monté à cheval c’était pour Thor pendant que je portais une cape et une armure. Pour   Blanche-Neige et le Chasseur c’est beaucoup plus facile. »
En parlant du film des studios Marvel, -Thor a reçu le feu vert pour le transformer en sequel- Blanche-Neige et le Chasseur a également des rumeurs supposant que ce n’est que le premier film d’une trilogie. « J’espère, » dit Hemsworth. « Ca le sera si celui là marche. Les studios adoreront une trilogie, alors j’espère que les gens en voudront davantage. » L’autre sortie au cinéma de Hemsworth ce mois-ci –l’énorme film de super héros, The Avengers- va également inspirer une suite ou deux. Est-ce que le jeune acteur a ressent de la pression avec toutes ces franchises ? « Un peu. » admet Hemsworth. « J’essaye de ne pas penser à tout le budget qu’il y a derrière. Avec chaque film petit ou gros, vous essayez de les faire marcher et vous voulez faire en sorte que les personnages sont plausibles.

Quelques expériences de la vie d’Hemsworth l’ont aidé à créer ce convaincant Chasseur. Ainsi qu’être un guerrier saisonnier avec un passé sombre, cet antihéros est également un homme d’extérieur classique, bien informé des chemins de la forêt qu’il appelle sa maison. Hemsworth, qui a grandit dans l’Australie rurale –ainsi que son frère Liam Hemsworth- pourrait certainement s’identifier à son personnage. « Je n’avais pas de paire de chaussures parce qu’il faisait trop chaud. » dit-il de son enfance. « On courait partout et il y avait des crocodiles et des buffles. On vivait dans une communauté aborigène et c’était une vie totalement différente. C’était beaucoup plus dur et dégradé que dans la banlieue. On retrouve cet élément dans le personnage, c’est vrai. Il vit dans les bois et ça ne le dérange pas de se salir. C’était nous quand nous étions enfants ; on vivait dans la brousse et on était couvert de boue et de poussière. Alors cette scène dans le film de moi qui me roule dans la boue, était familière. »

Et parmi ceux qui amènent l’action dans l’histoire il y a, oui, les nains. Appeler les huit nains –oui vous avez bien lu- qui s’attroupent avec Blanche-neige et le Chasseur. « C’était déjà dans le brouillon original. » dit Rupert Sanders. « Ca semblait être une bonne idée, d’être un tout petit peu différent. » Ni câlin, ni mignon avec des noms celtes comme Coll, Gort et Nion vous ne trouverez pas un Timide, ou même un Grincheux ici. « Disney a ses propres références. » dit Sam Mercer « Alors ça semblait approprier de faire quelque chose d’un peu différent. » Faisant écho à la tendance qui à démarrer avec Le Seigneur des Anneaux, huit acteurs de tailles normales ont été casté pour jouer les rôles et c’est une sélection frappante de personnages anglais également, comprenant Eddie Marsan, Ray Winstone, Ian McShane et Bob Hoskins. « Le film que je voulais faire avant celui était un gangster ! Alors j’ai juste pris mon dossier spécial casting et je l’ai feuilleté pour trouver les nains ! » Plaisante Sanders. « Non, c’était génial d’avoir l’opportunité d’engager ces mecs. Ils sont tous durs à cuire mais très marrant et ils sont de bons acteurs. Les nains ont une histoire très émouvante et c’est un film très émotionnel. Même si c’est un gros film Hollywoodien pourquoi il ne pourrait pas être riche en émotions ? C’est une pièce intense émotionnellement. C’est comme un conte de fées Biblique. Il y a beaucoup de messages et d’insinuations dedans. »

Pourtant c’est quand on parle avec la costumière qui a remporté trois Oscars, Coleen Atwood, que l’on a une image plus claire de comment s’annonce ces petits combattants. « Je voulais vraiment que chacun d’eux ai sa propre personnalité plutôt qu’être une seule même bande de mec. » dit-elle. « Quand on a eu les acteurs, on les a pris a part et on a regardé leurs visages et leurs personnages. On savait qu’ils allaient être ces mecs charognards qui ont des trésors cachaient dans la forêt, alors j’ai essayé de prendre leurs personnages et développer avec eux un style pour ce qu’ils sont –comme Toby [Jones] et Eddie sont les pionniers et il y a le mec spirituel, Bob et Johnny [Harris] et puis Ian et Ray qui étaient les farceurs.
Avec Atwood qui a conçu près de 2000 costumes pour la production, son travail donne un aperçu de à quel point le film de Sanders va être visuellement riche. Même si ce n’est que son premier film, son parcours de tournage de publicité (regarder ses sensationnels spots publicitaires pour les jeux vidéos Halo et Call of Duty) montre qu’il a ce qu’il faut pour adapter cette histoire à l’écran. « Son travail a toujours été cinématique, très osé dans son monde. » dit Mercer. « Et nous voulions que ce film soit fait de cette manière. »

Ca a été tout de même un baptême du feu pour Sanders. « Il y a pas mal de choses qui font que vous êtes nerveux quand vous commencez un projet de cette taille, » confie t-il bien qu’il ne pouvait pas s’imaginer à quel point le film allait vite faire le buzz. Mis sur le projet par le producteur Joe Ruth qui, la dernière fois, avait mis Tim Burton sur Alice aux Pays des Merveilles et qui avait rapporté 1 milliard de dollars.  Sanders n’a vraiment commencé à travailler sur le film en novembre 2010 avec une sortie prévue 18 mois plus tard. « Ca a été un processus très rapide. » Dit le réalisateur.  « Ils ne sont pas aussi rapide d’habitude. Ca prend du temps, non seulement pour faire le casting et puis il y a le poids du film et toute la pression qu’il y a autour pour pouvoir réussir à le sortir dans les temps. »

Même avant le début du tournage, Sanders a mis en place et a sorti une bande annonce de 3,5min pour donner un aperçu de ce que cela allait donner au final à l’écran. Ajoutant voix off, music et effet de son, Sanders a mélangé ensemble quelques images iconiques du film –du précieux miroir de Ravenna, celui qui dit à La Reine que Blanche-Neige va l’éclipser un jour, au moment où la Reine folle se baignant dans du lait. « Tout ces moments clés étaient là dès le départ. » dit-il. « Et c’est à partir de là qu’on a exploré. »

Stewart était l’une des membres du cast clé qui a été impressionné par ça. « Cela a été une des choses qui m’a attiré vers ce projet. » dit-elle. « L’histoire était incroyable, mais c’est sur la beauté, alors à moins que ça ne soit beau, ça ne va pas créer d’impact réel. » Stewart crédite Sanders et son désir de collaborer. « Quelque chose que les acteurs disent tout le temps c’est ‘Oh, ça a été un telle collaboration… nous sommes vraiment comme une famille’ mais lui et moi sommes vraiment sur la même longueur d’onde. Nous sommes une équipe et c’est rare… vraiment rare. »

Pendant que Sanders était en train de montrer ses plans esthétiques pour que tout le monde le voie, il était également en train de peaufiner le scénario. Le premier « était beaucoup plus léger et comique » dit-il. « Je pense que l’auteur a voulu ajouté un effet Shrek mais il avait quelques idées brillantes. » Avec une réécriture faite par Hossein Amini (qui a récemment fait Drive), toute blague a été épargné, remplacé par de l’humour coloré et de la romance nostalgique, avec Prince William (Sam Calflin) –un compagnon d’enfance de Blanche-Neige- désespéré d’être réuni avec son unique amour.
De plus, il y aura du sang. « On ne s’éloigne pas des moments très difficile parce que ça rend les moments magnifiques encore plus qu’ils ne le sont. » dit Stewart. La beauté, évidemment, est un thème clé de Blanche-Neige et le Chasseur se retrouvant dans l’obsession de la Reine avec sa propre image et être « la plus belle d’entre toutes. » « Ca ne signifie pas la beauté mais la plus belle intérieurement. » corrige Stewart. « C’est ce qu’il y a dans vos veines, plutôt ce à quoi vous ressemblez. Je ne sais pas si la Reine a conscience de ça, en tout cas pas avant la fin, elle réalise ‘Oh la beauté n’était pas ce que je pensais.’ »

La poursuite de la beauté absolue est évidemment un des gros thèmes du film. Comment Hemsworth –lui-même un imminent sex symbole d’Hollywood- voit cela ?  Est-ce qu’il pense que des femmes à la beauté absolue puissent le manipuler ? « Oui, » rigole l’acteur, qui attend un enfant avec sa magnifique femme actrice et mannequin, Elsa Pataky. « Je crois que le message du film est que la Reine est obsédée par la beauté physique. Que c’est ça le pouvoir et que c’est comme ça que vous régner sur le monde, si vous ne vieillissez pas, et vous restez jeune et belle alors vous gardez ce pouvoir. Nous savons tous que ça n’est pas le cas. Comme nous pouvons le voir dans le conte de fées, ça ne marche pas pour elle. C’est ce qui est à l’intérieur qui compte comme le courage et l’espoir. Cela devient plus important si vous arrivez à survivre. »
Mais en grandissant, est ce que les femmes magnifiques qui ont se pouvoir, l’ont il manipulé ? « Bien sûr, » sourit l’acteur. « J’ai eu des tas d’embrouilles avec les femmes. Elles pouvaient dire ‘Va et saute de ce pont’ je l’aurais fait. J’ai du tirer des leçons de mes propres actes.

Comme la méchante et malavisée Ravenna, Charlize Theron n’a seulement rejoint le casting quand George Miller a repoussé Mad Max : Fury Road qui a souffert d’un nouveau retard de calendrier, ouvrant du temps dans son calendrier. Alors à quel point la Reine est méchante d’une échelle de un à dix ? « Je ne sais pas si c’est une bonne question ou une mauvaise, » dit le producteur, levant ses sourcils. « Disons qu’elle se donne à 100%. » D’après Stewart, Charlize Theron faisait également la même chose. « Elle n’a pas peur de se prendre un coup. » dit la jeune actrice de sa co-star ayant déjà gagné un Oscar. «Elle n’arrête pas de me dire de la frapper plus fort. Nous sommes assez identiques dans la manière où nous nous enfermons dès que les caméras commencent à tourner. Je ne veux pas montrer sa technique mais nous nous mettons toutes les deux dans une zone et ça devient dangereux. »

Malgré l’indéniable présence et charisme de Chris Hemsworth, c’est ce qui permet à  Blanche-Neige et le Chasseur de sortir de l’ordinaire : c’est un de ces rares films d’actions d’Hollywood qui est menée par deux protagonistes femmes. « C’est assez commun d’avoir votre histoire en tant que femme, même si vous êtes le protagoniste, facilité par tout les personnages masculins, » dit Kristen. « C’est tellement rare d’avoir un personnage principal féminin tellement active. Elle pousse sa propre histoire en avant, plutôt que d’être affectée par les éléments extérieurs. J’espère que nous faisons ça, je suis vraiment fière de faire parti de quelque chose comme ça.  C’est toujours bien pour les femmes de se sentir réhabilité. » Sanders est d’accord avec ça mais avec une contradiction. « On ne fait pas un film de Spice Girls. » Merci mon Dieu pour ça…







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