Traduction faite par le staff de Kstew France merci de créditer AVEC lien.
Si vous allez ajouté à un conte de fées classique de la modernité, cela aide d'avoir, en tant que personnage principal, un actrice qui sait parler à sa génération.
Le réalisateur Rupert Sanders admet qu'il n'a seulement que le premier Twilight - mais il savait quand il a du trouver un fille qui rassemblait toutes les qualités requises d'une héroïne qui a du cran, qui est au coeur de son premier film Blanche-Neige et le Chasseur qu'il n'y avait pas meilleur personne pour le rôle que Kristen Stewart.
"Elle est vraiment contemporaine et vive," dit Sanders à propos de la star de 22 ans qui est devenue une célébrité en jouant Bella Swan dans la fameuse saga de films sur les vampires.
"Elle a une énorme pression sur ses épaules et elle le fait avec beaucoup plus de maturité qu'elle n'a sous sa ceinture. Il y avait quelque chose à propos de cet esprit qui n'était pas défini et brute qui nous attire vers elle. C'est vraiment très débridé et non impeccable."
C'est le matin après l'avant première australienne de Blanche-Neige et le Chasseur (ou SWATH tel est le film est connu sur Twitter), l'ambitieuse adaptation à gros budget des Frères Grimm fait par Sander inclut un casting rempli de stars tel que l'Australien Chris Hemsworth et l'actrice qui a reçu un Oscar, Charlize Theron.
Dans les somptueux confins de l'hôtel Park Hyatt à Sidney, Sanders est assit à côté de son actrice principale qui est habillée de leggings, d'un vieux T-shirt gris et d'une chemise à carreaux, qui dément le fait qu'elle a, ce matin-même, été élu par Forbes l'actrice la mieux payée à Hollywood.
"Eh bien, elle en vaut vraiment le coup," ajoute t-il, donnant à l'actrice plutôt unconfortable, un sourire rassurant.
Sanders, un très respecté réalisateur de publicités dont la carrière inclut les publicités pour Sears, Toyota et le jeu vidéo Halo 3: ODST a été considéré pour divers films comme Hunger Games avant qu'il ne soit employé par Universal pour réaliser le reboot à 170 millions de dollars de Blanche-Neige et le Chasseur
Après avoir lu le script de Evan Daugherty - qui est plus parmi les lignes du conte original publié en 1812 que le film d'animation de 1973 de Disney - le Britannique de 41 ans a réalisé qu'il avait l'opportunité "de créer un monde que personne n'a jamais vu auparavant."...
Il y a des éléments que l'ancienne génération pourra reconnaître - un miroir, une pomme rouge, une méchante reine et bien sûr toute une bande de nains - mais ajoute à tout ça des batailles massives, une rébellion, des effets spéciaux à couper le souffle et un message caché "apprenant à tous à comprendre la mortalité et ne pas nous plonger dans la jalousie ou la rage" et tout cela devient très visuel et mature.
"C'est certainement plus sombre que Disney mais je ne pense pas que c'est plus sombre que la version des Frères Grimm," dit Sanders. "C'est comme un conte de fées originel -ils vous font peur pour vous informer. Et les gens aiment être un tout petit peu effrayer."
"Nous n'effrayons pas les gens par gratuité. C'est une peur périphérique ce n'est pas de l'horreur. Cela vous fait frissonner et cela fait de l'histoire quelque chose de plus intense."
Stewart, dont les films en dehors de Twilight compte Into the Wild et The Runaways admet à la première Australienne ce mardi qu'elle n'a jamais vraiment aimer le conte originel.
"Ce n'est pas que je n'était pas fan," dit-elle. "C'est juste que je ne pouvais pas m'identifier à Blanche-Neige en grandissant. Alors la première fois que j'ai entendu parler du projet j'ai pensé 'Blanche-Neige ? Mais, pourquoi ?'"
Comme Sanders, elle a changé son avis en lisant le script et en s'identifiant à un personnage qui n'était pas préparé à être reléguée à être sauvé par quelqu'un d'autre. Sanders l'a décrit comme "une version féminine de Luke Skywalker".
"Il y avait un manque de femmes fortes dans les films et finalement cela a été fait correctement," dit Sanders.
"Vous reconnaissez Blanche-Neige mais c'est comme si que toutes ses qualités ont été mis sous de la boue et voir si elle peut les trouver, les prendre et les faire briller."
En effet, Sanders a poussé toutes ses stars à leurs limites mentales et leurs capacités physiques pendant les 80 jours de tournage en étant sous la pluie et la boue dans l'un des endroits les plus reclus d'Angleterre, en plein hiver.
Pour Stewart, qui a du à un moment du tournage se jeter dans un lac gelé, la partie la plus unconfortable de son rôle a été de monter à cheval.
"C'était de loin l'obstacle le plus haut à surmonter pour moi," dit-elle. "Cela me terrifie. Mais je pense que c'est bien - de la vraie peur et unconfort sont parfaits pour l'écran."
Pour Sanders, l'unconfort vint plus tôt sous la forme de quand il a contemplé l'énormité d'adapter un tel conte de fées apprécié au grand écran.
"Vous êtes un peu nerveux quand vous faîtes quelque chose dans votre vie qui vous ouvre complètement aux autres," dit-il. "Je ne pense pas que mon travail avait beaucoup plus de pression que celui de Chris ou de Kristen qui sont les véritables visages du projet. Je serais probablement retourné à l'anonymat et ne jamais plus travaillé si cela avait été un véritable désastre. Je pense que nous avons la pression."
Avec des reviews fortes, des résultats aux box office et un pour-parler d'une suite, Snaders n'a pas à s’inquiéter de son futur. Comme pour Stewart, elle va faire une pause d'un mois avant de commencer à travailler sur son prochain film - un thriller nommé Cali par le réalisateur de The Notebook, Nick Cassavetes.
"C'est dur d'en parler parce que je n'ai pas encore été dans l'ambiance du film. Dès que je rentre, nous devons faire le casting... s'asseoir autour du script," dit Stewart.
"Mais c'est assez extrême dans pas mal de façons. Cela me rappelle les films des années 90 - des films bizarres mais cultes."
Elle apparaîtra ensuite sur le grand écran en tant que Marylou dans l'adaptation au grand écran du roman de Jack Kerouac, Sur la Route, qui sortira en Australie en Septembre.
Puis ensuite bien sûr il y a la sortie de ce petit film en Novembre - le dernier film de la saga Twilight - Twilight chapitre 5: Révélation partie 2
Bien que désireuse de s'appuyer sur des nouveaux rôles, Stewart admet que que cela a été dur de dire au revoir à un personnage avec lequel elle a vécu durant ces quatre dernières années.
"C'est toujours le même sentiment à la fin de quelque chose dans lequel vous vous êtes investi," dit-elle.
Ici, cela a été beaucoup plus long.
"J'aurais probablement à en parler pour le restant de ma vie mais j'ai de la chance parce que c'est un souvenir qui m'est cher."
Source The West Australian Via Kstewartnews
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