Kristen a réalisé en février dernier à Nashville pour la première fois un clip vidéo de Sage & The Saints .
Voici des photos de la réalisation ainsi qu'une vidéo BTS et une interview pour le magazine Rolling Stones. [ENJOY ^^]. Le clip complet arrivera le 28 mai.
- Article datant du tournage du clip ICI
→ Behind The Scene du Clip:
→ BTS du clip (2) :
→ Photos BTS :
→ Interview :
Traduction faire par le Staff de Kstew France. Merci de nous créditer AVEC lien si vous la reprenez ailleurs.
Pour
être tous familier avec Kristen Stewart – elle a eu un petit rôle dans quelques
films de vampires, peut-être les avez-vous vu – est de savoir qu'elle n'est pas
particulièrement à l'aise sous les projecteurs. C'est une oratrice cinétique,
elliptique et souvent utilisant l'auto-dérision, alors peut-être n'est-il pas
surprenant, qu'à 24 ans, elle soit déjà passée de l'autre côté de la caméra.
Dans le cadres de sa saga Blank Check Series, la marque de jean/habits tendance
Buffalo David Bitton a proposé à Stewart une somme d'argent modeste dont le
montant n'a pas été divulgué pour 'se lancer dans une nouvelle aventure
créative', dans laquelle la star de Twilight a co réalisé un clip musical
vidéo pour son amie Sage Galesi du groupe rock-country Sage + The Saints.
'J'ai
toujours dit que je veux réaliser des films depuis l'âge de 10 ans',
dit Stewart au téléphone quelque part à la Nouvelle-Orléans, où elle est
actuellement en tournage pour la comédie d'action American Ultra. 'Et
ensuite, j'ai commencé à faire des films et travailler avec des gens tellement
incroyables et j'ai réalisé je faisais le contraire. Donc, je me disais, pas
moyen, maintenant je vais avoir plus d'attention que j'aurais du car je suis
qui je suis. Fondamentalement, je suis reconnaissante envers Saga, car elle m'a
dit, 'J'ai cette petite chose, personne ne pourrait mieux raconter l'histoire
que toi … Fais le simplement et arrête d'être une froussarde'.
Pour lire la suite de l'interview, cliquez sur "Suite..."
Donc
Stewart, aux côtés du co réalisateur David Ethan Shapiro de Starlight Studios,
du réalisateur/monteur James Gallagher
et quelques amis communs, qui ont décampé du Tennessee pour cinq jours en
février pour tourner la vidéo pour 'Take Me To The South', une chanson tirée de
l'album EP de 2013 'I Will Lie'. (Galesi vient de lancer un lecteur PledgeMusic
pour aider à financer un album complet). Tourner dans et autour de Nashville,
la ville d'adoption de l'auteur-compositeur, Stewart et Compagnie ont tourné
des images de style documentaire de Galesi performant au High Watt, jouant dans
les coins de rue du centre-ville et s'amusant avec des amis à l'arrière d'un
pick-up. 'On voulait que cela ressemble à un aperçu de sa vie',
explique Stewart. 'Et c'était foutrement dur. Dès qu'on commence à
tourner, tout le monde se transforme comme une biche dans les phares'.
La
vidéo pour 'Take Me To The South' sortira plus tard ce mois-ci. Dans le même
temps, Stewart, aux côtés de Galesi et Shapiro, était enthousiaste de parler de
ses débuts en tant que réalisatrice via une conférence téléphonique : 'C'est
tellement plus sympathique de faire des interviews différentes de ce à quoi je
suis habituée'.
Rolling
Stones : Votre partenaire de Twilight Nikki Reed a produit un vidéo
clip pour une chanson intitulée 'Edie Sedgwick' lors de la période solo de
Sage, n'est-ce pas ?
Kristen Stewart : C'est comme ça qu'on s'est rencontrées. Oui, c'était sur le tournage d'un film à Vancouver il y a sept ans, et ensuite on est devenues de très bonnes amies.
Kristen Stewart : C'est comme ça qu'on s'est rencontrées. Oui, c'était sur le tournage d'un film à Vancouver il y a sept ans, et ensuite on est devenues de très bonnes amies.
Le
clip a une sensation d'improvisation, d'artisanal. Quel est, le cas échéant, le
récit avec lequel vous avez travaillé ?
Sage
a vécu tout cela ; on a rien fabriqué. Je voulais que le clip donne le
sentiment d'être vraiment capturé et trouvé plutôt que mis en place et exécuté.
L'histoire, c'est qu'elle est incroyablement courageuse pour être cette gamine
de Los Angeles qui traîne pas avec quelqu'un qui écoute de la musique country –
et tout à compte elle se rend compte qu'elle veut être une star de la country,
et elle se rend à Nashville par ses propres moyens pour voir si elle peut
rencontrer des gens et faire partie d'un groupe. Puis, elle fait tout ça.
C'était si facile, une fois qu'elle m'a présenté l'idée. Je me suis dit, eh
bien, c'est ce que le clip est. C'est fait. Fondamentalement, je ne voulais pas
qu'il paraisse … Je veux dire, personne ne veut que leur truc soit prétentieux,
mais genre, je ne voulais pas que ça ait l'air que l'on veuille que ce soit
cool tout ça. La musique country n'est pas cool. C'est véridique et c'est doux.
Êtes-vous
une fan de country ?
Non.
C'est ça qui est drôle. C'est quelque chose que Sage et moi n'avons pas
partagé, et presque tout dans notre amitié est … Nous avons beaucoup en commun.
Alors je me suis dit : Quoi ? Tu veux faire une chanson
country ?
Avez-vous
eu quelques chose à préparer ?
Eh bien, je me suis assise et j'ai regardé énormément de vidéos de country avant qu'on ne commence à faire ça. Je n'avais pas vraiment vu quelque chose qui ne cherchait pas si durement à être quelque chose. Mais je dois préciser quelque chose sur ce que j'ai dit : je ne parlais pas à propos de toute la musique country. La musique country que Sage joue – elle ne cherche pas à être cool. Et l'histoire est vraiment face à nous, je n'ai pas besoin de chercher ailleurs pour trouver l'inspiration. De plus, on va à Nashville et tout le monde mange, respire et dort la musique country, [donc] être là était cette chose qui transforme. Tous nos amis disaient, 'Hey bébé, hey chérie, comment vas-tu ?' C'est un endroit vraiment contagieux et super accueillant.
Eh bien, je me suis assise et j'ai regardé énormément de vidéos de country avant qu'on ne commence à faire ça. Je n'avais pas vraiment vu quelque chose qui ne cherchait pas si durement à être quelque chose. Mais je dois préciser quelque chose sur ce que j'ai dit : je ne parlais pas à propos de toute la musique country. La musique country que Sage joue – elle ne cherche pas à être cool. Et l'histoire est vraiment face à nous, je n'ai pas besoin de chercher ailleurs pour trouver l'inspiration. De plus, on va à Nashville et tout le monde mange, respire et dort la musique country, [donc] être là était cette chose qui transforme. Tous nos amis disaient, 'Hey bébé, hey chérie, comment vas-tu ?' C'est un endroit vraiment contagieux et super accueillant.
Quel
était le principal défi que vous avez rencontré en tant que réalisatrice
débutante ?
C'est une telle pression différente de celle à laquelle je suis habituée quand je joue. C'est une pression très cohérente qui ne faiblit jamais. Alors qu'avec le jeu, il y a des petits éclats …On soulage des parts de tension pour la caméra et ensuite, on part et, je ne sais pas, on attend d'angoisser à nouveau. Mais il n'y avait pas une seule seconde durant laquelle je n'étais pas assise avec ma tête dans mes mains. Il est de votre responsabilité de maintenir cette chose ensemble, et j'étais toujours préoccupée de manquer quelque chose. Les occasions manquées sont la chose qui prend le plus aux tripes, douloureuse, la plus nauséabonde. En tant qu'actrice, votre travail est de se perdre dans l'instant. Se perdre est la dernière chose que l'on veut faire en tant que réalisateur, cela va à l'encontre de mon instinct. J'ai du exploiter mon énergie plutôt que le laisser exploser sur le tournage.
C'est une telle pression différente de celle à laquelle je suis habituée quand je joue. C'est une pression très cohérente qui ne faiblit jamais. Alors qu'avec le jeu, il y a des petits éclats …On soulage des parts de tension pour la caméra et ensuite, on part et, je ne sais pas, on attend d'angoisser à nouveau. Mais il n'y avait pas une seule seconde durant laquelle je n'étais pas assise avec ma tête dans mes mains. Il est de votre responsabilité de maintenir cette chose ensemble, et j'étais toujours préoccupée de manquer quelque chose. Les occasions manquées sont la chose qui prend le plus aux tripes, douloureuse, la plus nauséabonde. En tant qu'actrice, votre travail est de se perdre dans l'instant. Se perdre est la dernière chose que l'on veut faire en tant que réalisateur, cela va à l'encontre de mon instinct. J'ai du exploiter mon énergie plutôt que le laisser exploser sur le tournage.
Sage
et David, comment décririez-vous la technique de Kristen ?
David Shapiro : Elle est très passionnée. Soit elle aime quelque chose, soit elle le déteste.
David Shapiro : Elle est très passionnée. Soit elle aime quelque chose, soit elle le déteste.
Sage
Galesi : Elle était naturelle. Elle était excellente dans le sens de
ne pas trop diriger, mais faire en sorte que certains temps soient capturés, et
me dire les moments où ils allaient. Être amies a rendu les choses simplement
plus faciles, car elle pouvait me dire quelque chose très facilement.
Kristen
Stewart : Cela me paraissait tellement drôle de faire faire des choses
à Sage plus d'une fois. Ce fut une expérience étrange, car je voulais n'avoir
jamais à faire ça. Mais il y avait quelques moments où je lui ai fait faire les
choses 10 fois. La plupart du temps, c'était comme si on faisait un
documentaire, mais c'était quand cela paraissait comme un film.
Comme
dans quelles scènes?
Kristen Stewart : On a fait un si grand nombre de la prise d'elle regardant par-dessus son épaule, et on avait l'impression que c'était prévu, comme si c'était au bon moment. Mais ensuite, je l'ai mise debout dans les coulisses d'un spectacle, en regardant ce gars, et elle ne doit pas nécessairement avoir le béguin pour ce mec …
Kristen Stewart : On a fait un si grand nombre de la prise d'elle regardant par-dessus son épaule, et on avait l'impression que c'était prévu, comme si c'était au bon moment. Mais ensuite, je l'ai mise debout dans les coulisses d'un spectacle, en regardant ce gars, et elle ne doit pas nécessairement avoir le béguin pour ce mec …
Sage
Galesi : Mettons les choses au clair je n'ai pas le béguin pour ce
gars !
Kristen
Stewart : Oui, c'est une chose qu'on a fait. Quoi qu'il soit en soit,
fondamentalement, elle se tient là à regarder ce type jouer, et il représente
tout ce qui fait de Nashville quelque chose de différent de tout ce avec quoi
on a grandi à Los Angeles – car il représente foutrement la country et j'ai
simplement aimé pointé une caméra sur lui. Je l'ai fait le regarder, et c'est
un genre de plan silhouette – donc on a envie d'en voir plus, ce que j'aime
vraiment, car elle est en train d'avoir ce moment privé. Et je me suis
dit : 'Hé Sage, qu'est-ce que tu fais ? C'est tellement évident'.
Elle disait, 'Quoi ? Non !' Coupez. On l'a eu.
Vous avez travaillé
avec une impressionnante liste d’acteurs et réalisateurs : David Fincher,
Sean Penn, Jodie Foster. Y a-t-il quelqu’un auprès duquel vous avez beaucoup
appris ou essayer de communiquer ici?
Je veux dire, de manière spécifique, non, mais absolument
tout ce que j’ai fait a changé tous mes désirs. Cela sonne ridicule de nommer
ces gens mais [le réalisateur de Sur la
Route] Walter Salles et [le réalisateur de Into The Wild] Sean Penn travaillent de la même manière selon
laquelle je voudrais travailler. Il s’agit d’être en mesure de toujours,
toujours, toujours flairer les conneries et refuser de les gober. Vous honorez
le projet sur lequel vous travaillez tellement, que venir à se moquer de lui serait
par principe mal. C’est le sentiment qu’on ces gars. Je me sens tellement en
sécurité avec eux en tant qu’actrice,
car je sais pertinemment que je peux essayer des choses et entièrement lâcher prise
et ils ne me permettront jamais de faire quelque chose de faux. J’ai vraiment
envie d’explorer cette piste de ma vie, et c’est la voie que j’aimerais
vraiment m’efforcer de faire.
Avez-vous prévu de
réaliser d'autres projets dans le futur ?
J’ai énormément travaillé ces derniers temps. J’ai vraiment
besoin de faire une pause et de me changer les idées, car si je vais investir
autant de temps dans un projet, ça sera quelque chose pour lequel je mourrais.
Il y a quelques courts métrages que j’ai écrit que j’aimerais vraiment faire.
Je vais probablement avancer et foirer quelque fois. En général, vous êtes
autorisé à jeter des trucs contre un mur et voir ce qui va bloquer. Vous n’avez
pas des gens en train de regarder, en disant, « K-Stew est en train de
faire un film ! » C’est embarrassant. Je dois savoir avec qui je veux
travailler. Cette vidéo est la collaboration des quatre d’entre nous – Sage,
David et James et moi -, et ce n’est pas moi qui ne veux pas dire que je
réalise quelque chose. Ce sont les gens, par manque d’un meilleur mot, « ambiance » ?
Un réalisateur est seulement aussi bon que les gens avec qui il travaille. Je
dois déterminer qui sont mes potes.
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